L'athéisme attaque le christianisme avec une dénonciation contre Jésus et l'église catholique laquelle a défendu une imposture basée sur de faux documents, tels que la Bible et les Evangiles, avec la violence de l'Inquisition et le plagiat obtenu avec satan, les exorcismes et autres superstitions.

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Evangile de Luc

Présentation de l'Eglise : «  Luc, auteur également des Actes des apôtres, fût un médecin syrien se convertissant à Antioche vers 43. Il connaissait le Christ par les premiers témoins de sa vie et se prépara en faisant une enquête consciencieuse. Luc réalise sa tache sur un matériel qui provient d'un milieu palestinien, il n'est pas exclu la contribution de la mère même de Jésus . Il fût écrit entre 65 et 70 ».

L'attribution à Luc, apôtre qui a vécu dans la Communauté de Jérusalem avec Pierre, Jean, les apôtres et la Madonna, ne peut être que fantastique.

Du moment que cet évangile fût écrit pour réfuter les concepts gnostiques de l'évangile de Marcion, par conséquent il ne peut être antérieur à 144. Pour autant que l'Eglise cherche, invoquant l'autorité de Tertullien, à démontrer que ce fût Marcion qui a imité Luc, les preuves qui démontrent qu'au contraire ce furent les rédacteurs de Luc qui recopièrent Marcion ont été amplement apportées par Couchoud dans son « Premiers Ecrits du christiânisme ». (« Primi Scritti del Cristanesimo »)

a) Nous savons que l'évangile de Marcion est connu en 140 par Papia alors que celui de Luc est ignoré par le même Papia en 150.

b) L'évangile de Marcion était beaucoup plus court que celui de Luc, dans ces cas on ne raccourcit pas, mais on allonge plutôt.

•  De nombreux passages de Luc un caractère clairement anti-marcionique.

•  Par analogie des expressions et ressemblance du style, tout porte à croire que l'évangile

attribué à Luc a été écrit, au moins dans sa première version, par Clément, auteur d'une lettre aux Corinthiens, qui a vécu à Rome dans les années 155-165 ». (Couchoud. Primi Scritti del Cristianesimo (Premiers écrits du christianisme) p. 7 à 31).

Le fait ensuite que, depuis que Marcello Craveri a démontré que, au moins pour 90 pour cent il recopie les phrases des évangiles gnostiques et les divers papyrus datés des années 130-135, n'est-ce pas une autre démonstration irréfutable que la date que lui attribue l'Eglise est indiscutablement fausse ?

Que l'évangile de Luc soit le résultat de superpositions continues qui se sont succédées pendant tout le II° siècle et de plus Tatiano dans son Diatesséron , écrit en 175, (livre qui réunissait en un seul texte les quatre évangiles canoniques), ne rapporte pas la naissance de Jésus qui fût ajoutée exprès, comme dans l'évangile de Matthieu, seulement entre la fin du II° siècle et et les débuts du troisième, c'est à dire quand la communauté de Rome, à la suite des critiques des opposants qui leur

faisaient remarquer comment Jésus pouvait-il s'être fait incarné s'il n'avait pas une naissance terrestre, elle décida de la faire engendrer par une femme, une femme vierge comme le soutenaient les divinités païennes dans le Culte des Mystères.

Une autre preuve démontrant que la Naissance de Jésus fût ajoutée dans les évangiles de Luc et de Matthieu à une époque tardive nous vient de Marcion car il n'est fait aucune mention dans son « Edition Evangélique » qu'il écrivit aux alentours de 70 pour confronter les quatre évangiles.

D'autre part, pour comprendre à quel point la naissance terrestre de Jésus est le produit de falsifications, il suffit de remarquer la discordance qu'il y a entre celle racontée dans l'évangile de Matthieu et celle reportée dans l'évangile de Luc dont la véracité de ce dernier est garanti par l'Eglise en disant que ce fût la propre mère du Christ qui leur racontèrent.

De toute façon une chose est sure : le qualificatif de médecin qui est donné à Luc par l'Eglise et le sérieux qui lui est également conféré dans la version de l'évangile, viennent du fait que la simple analyse des passages suivants est très discutable :

•  « au temps du roi Erode, roi de la Judée, le seigneur rendit grâce au prêtre Zaccaria en rendant fertile sa femme Elisabeth, qui était déjà d'un âge avancé. Il fils naquit qu'ils appelleront Jean. (Lc. 1 – 5).

•  Six mois après, le même ange qui annoncé à Zaccharia qu'il allait devenir père, se présenta à Marie et lui communiqua qu'elle était enceinte du Saint-Esprit. (Lc. 1 – 26).

•  Six mois après la naissance de Jean, Marie, la femme de Joseph, accoucha de Jésus à Bethléem où elle était allée pour le recensement ordonné par Quirinio, Gouverneur de la Syrie ». (Lc. 2 – 1)

Il suffit de faire un simple calcul entre la date de la conception et la date du départ, pour se rendre compte comment le rédacteur du troisième évangile, en plus de ne pas avoir effectué « de consciencieuses enquêtes », n'était certainement pas non plus un médecin. Sachant que Erode, roi de Judée est mort en – 4 et que le recensement a eu lieu en + 6 et + 7, qu'en ressort-il ? Il en Ressort que la Vierge a eu une grossesse, d'au moins, onze ans. … et encore une fois Catalina abuse de notre patience !

Fini de rire, je veux ajouter que cela est une preuve déterminante pour démontrer que celui qui a écrit le troisième évangile n'était pas un savant médecin syrien qui a rapporté des faits qui se sont vraiment passés alors que lui il était en Palestine, mais il s'agit bien d'un âne de païen qui s'inventa comme il a pu toute une histoire pour justifier, à travers une naissance terrestre, l'incarnation du Christ.

 

 

Grâce à un irréprochable service bancaire et postal, la première édition de «La fable de Christ» a été complètement vendue dans le respect de la plus parfaite exécution des envois.

© Luigi Cascioli