| A LA 
                          PROCURATION DE LA REPUBLIQUE AUPRES DU TRIBUNAL DE VITERBE. Le soussigné Luigi Cascioli, 
                          résident à Roccalvecce (Viterbe) Italie, 
                          via delle Province n. 45/b,
 EXPOSE CE QUI SUIT Le soussigné, après de 
                          longues et approfondies études consistant aussi 
                          (et pas seulement) en une exégèse textuelle 
                          de l’Ancien Testament, est
 arrivé à la conclusion que, beaucoup des 
                          faits présentés comme vrais et
 historiques par les soi-disantes « Saintes Ecritures 
                          » sont en réalité
 des faux, premier parmi tous l’Historicisme de 
                          la figure de
 Jésus-Christ, en grande partie empruntée 
                          sur celle de Jean de Gamala,
 fils de Judas et descendant de la stirpe des Asmonéens.
 Les motivations qui ont conduit l’exposant 
                          à telle conclusion sont en détail exposées dans le livre que l’on 
                          allègue au présent exposé, duquel
 ils constituent partie essentielle et 
                          intégrante. Avec le présent exposé 
                          on ne veut pas contester la liberté des Chrétiens 
                          à professer la propre foi, ratifiée par 
                          l’article 19 de la Constitution,
 mais on veut stigmatiser l’abus que l’Eglise 
                          Catholique commet, en se
 servant du propre prestige, pour inculquer en tant que 
                          faits réels et
 historiques, celles qui ne sont rien d’autre que 
                          des inventions.
 /Un clair exemple de tel abus a été 
                          commis par Don Enrico Righi (curé de Bagnoregio) lorsqu’il a déclaré, 
                          sur le bulletin de la paroisse de S.
 Bonaventura de Bagnoregio n° 245 mars-avril 2002, 
                          que Jésus-Christ
 représente une figure historique en affirmant 
                          faussement qu’il était
 fils de Joseph et de Marie (personnages, eux aussi, 
                          immaginaires et donc
 historiquement inexistants), né à Bethléem, 
                          et qu’il avait ensuite vécu
 à Nazareth. Que la figure de Jésus-Christ 
                          ait été entièrement empruntée
 sur celle de Jean de Gamala, fils de Judas, nommé 
                          aussi Galiléen, est
 fait sûr et démontré par une infinité 
                          de preuves qui rend impossible ne
 pas croire aux falsifications faites par les rédacteurs 
                          de l’Evangile.
 Il suffit de penser à celle concernant la transformation 
                          de l’appellatif
 Naziré, nom avec lequel on appelait Jean de Gamala, 
                          en Nazaréen donné a
 Jésus, en tant qu’habitant de Nazareth, 
                          pour démontrer la substitution
 de personne./
 D’un point de vue pénaliste, 
                          de telles falsifications historiques peuvent intégrer les cas en question de deux 
                          délits : l’abus de la
 crédulité populaire et la substitution 
                          de personne (dans le cas de
 Jésus-Christ).
 Aux 
                          termes de l’art. 661 C.P., on a abus de la crédulité 
                          populaire lorsque quelqu’un, par le moyen d’impostures, 
                          induit en erreur une
 multitude de personnes, dans le cas spécifique, 
                          l’Eglise Catholique (et
 pour elle ses ministres du culte comme Righi, dans ce 
                          cas), en donnant
 pour certains les faits historiquement inexistants (donc 
                          en présentant
 comme vrais et réellement advenus des faits inventés 
                          en fonction de la
 doctrine religieuse ), trompe toutes les personnes qui 
                          entrent en
 contact avec l’enseignement de cette religion 
                          en les induisant à croire
 en elle sur la base non pas d’argumentations purement 
                          théologiques
 (complètement licites et admissibles), mais sur 
                          la base d’une
 représentation trompeuse des faits. Le crime 
                          est de nature
 contraventionnelle, c’est pour cela que l’élément 
                          psychologique de la
 faute est suffisant, ce qui est certainement vérifiable 
                          dans tous les
 ministres du culte catholique (donc même de Don 
                          Enrico Righi), puisqu’on
 ne peut croire que des personnes instruites et qui -pour 
                          vocation et
 pour métier- étudient continuellement 
                          la Bible et les Evangiles ne se
 sont pas aperçues des nombreuses et répétées 
                          faussetés (même grossières) contenues 
                          dans de tels écrits.
 En ce qui concerne le délit de 
                          substitution de personne, on le trouve quand un sujet, pour en tirer un avantage, induit d’autres 
                          en erreur en
 attribuant, à soi-même ou à d’autres, 
                          un faux nom.
 Dans le cas en examen, le livre (auquel 
                          je renvoie pour de plus complètes explications) démontre que Jésus-Christ 
                          n’a jamais existé et
 que, sous ce nom, se cache un certain Jean de Gamala. 
                          Donc, les
 ministres de l’Eglise Catholique (comme Don Righi) 
                          qui font du
 prosélytisme /(donc ils tirent avantage de l’augmentation 
                          du nombre des
 fidèles qui accroit les introïts soit des 
                          offrandes directes des fidèles
 que de celles du 8 pour mille uni à la déclaration 
                          des revenus)/,
 induisent en erreur, sur la base de telles faussetés, 
                          ceux qui reçoivent
 le message et, donc, commettent le délit prévu 
                          et puni par l’art. 494 du
 code pénal.
 Entre autre, afin d’intégrer 
                          le délit dont nous parlons « ce n’est 
                          pas nécessaire que le but que s’était 
                          proposé l’agent soit en soi-même
 illicite ou de nature patrimoniale, pouvant-il être 
                          licite et non
 patrimonial » (Cass. Section V 9.02.1973 n. 164 
                          ; conforme Cass. Section V 17.02.1967 n. 340).
 L’élément subjectif 
                          requis est le dol spécifique, qui subsiste dans 
                          tous ces sujets qui sont conscients de telles faussetés, 
                          mais qui ne se font
 aucun scrupule de continuer à les divulguer, 
                          comme fait Don Righi.
 La responsabilité du Souverain 
                          Pontife peut être seulement morale, vu son immunité aux termes de l’Art. 3-I comma 
                          du Code Pénal, alors que
 pour tous les autres ministres du culte catholique peut 
                          s’annoncer la
 résponsabilité de nature pénale.
 La continuelle présentation et 
                          divulgation d’évènements faux faits 
                          passer pour vrais lèse aussi la tranquillité 
                          morale et la sérénité de
 l’instant, avec conséquent dommage causé 
                          par l’emotional distress,
 duquel on demandera l’indemnisation du dommage 
                          dans les sièges
 opportuns, par le moyen d’une constitution de 
                          partie civile, qu’on
 réserve dès maintenant.
 Le soussigné, à disposition 
                          de l’Autorité Judiciaire pour fournir toute 
                          explication, se réserve d’intégrer 
                          tout ce qui a été exposé et demande
 expressément d’être écouté 
                          à propos des faits ci-dessus cités.
 Tout cela dit et considéré, 
                          le soussigné Luigi Cascioli présente formelle DENONCIATION-QUERELLE A Don Enrico Righi, curé de Bagnoregio 
                          (Viterbe, Italie), résident à Bagnoregio, via Matteotti n°45, et à tous 
                          les ministres de l’Eglise
 Catholique, pour le délit p. et p. des art. 494 
                          et 661 C.P., ainsi que
 pour tout autre crime que V.S. voudra avertir dans le 
                          comportement
 décrit ci–dessus.
 Avec réserve de constitution 
                          de partie civile dans les manières et les temps établis par la loi, je demande, ex art. 
                          408 C.P.P., d’être informé
 en cas de classement aux archives de la présente 
                          querelle.
 On dépose le livre cité 
                          /« La Fable de Christ » et le journal paroissial/ comme meilleure confirmation de ce qui à 
                          été ci-dessus exposé.
 Meilleures salutations, LUIGI CASCIOLI
 ------------------------------------------------------------ INSTANCE 
                          ET EXPOSE  Cher 
                          Procureur,  Le 
                          soussigné Luigi Cascioli , résidant à 
                          Roccalvecce (Viterbo). Viale (avenue) delle Provincie 
                          n° 45 /b, le 13.9.2002. a présenté 
                          une dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi 
                          (curé de Bagnoregio) pour les délits inscrits 
                          aux articles 661 et 494 du C.P., car Don Righi présente 
                          comme figure historique Jésus Christ, alors que 
                          (selon des études philologiques approfondies 
                          et des exégèses textuelles conduites par 
                          le même représentant sur les Evangiles 
                          et sur la littérature patristique et sur l'historiographie 
                          du Ier et du IIème s. ap. J.C.) Jésus 
                          Christ n'est pas un personnage historique et de ce fait 
                          sa figure fut empruntée et modelée sur 
                          le modèle d'un certain Jean de Gamala, pour preuve, 
                          le dénonciateur joint une copie du bulletin paroissiale 
                          de l'Eglise de St Bonaventura de Bagnoregio (signé 
                          par Don Enrico Righi) et son propre livre « La 
                          fable du Christ » pour démonstration de 
                          la présupposée logique des délits 
                          (non historicité de la figure de Jésus 
                          Christ et substitution de la figure de Jean de Gamala 
                          avec celle de Jésus Christ). Ensuite, 
                          le soussigné présentait un mémoire 
                          complémentaire, rappelant la subsistance de l'aggravante 
                          inscrite à l'article 61 n. 9 du c.p. et joignant 
                          d'autres éléments comme supports.  Par 
                          la suite, le parti offensé demandait au Ministère 
                          Public de procéder à un incident probatoire, 
                          prévu à l'article 394 du c.p.p., demandant 
                          à un ou plusieurs experts le devoir d'accepter 
                          l'historicité au moins de la figure de Jésus 
                          Christ ; cependant, l'accusé resta inerte. Avec 
                          un acte notifié le 12.5.2003, le Ministère 
                          Public demandait le classement de la notizia criminis 
                          , retenant la procédure contre inconnus ( ! ), 
                          avec comme motivation « les demandes d'investigations 
                          sont formellement inadmissibles et quand à l'objet 
                          … la dénonciation est manifestement non 
                          fondée et on ne peut relever des hypothèses 
                          de délit. » Contre une telle demande, le 
                          soussigné présentait une opposition rituelle 
                          et au moment opportun, en déduisant :  1) 
                          que la procédure ne pouvait pas être répertoriée 
                          « contre inconnus » puisque dans la dénonciation 
                          comme dans les actes successifs il était toujours 
                          convenu Don Enrico Righi comme responsable des faits 
                          intégrants du délit dénoncé 
                          et qu'il avait produit aux actes le bulletin paroissiale 
                          et les avait signés.  2) 
                          que la disposition avait été répertoriée 
                          seulement relativement à la contravention de 
                          l'article 661 du C.P. et pas encore au plus grave délit 
                          de l'article 494 du C.P.  3) 
                          qu'on ne pouvait déclarer l'évident manque 
                          de fondement de la notice de délit, puisque – 
                          une fois démontré le préposé 
                          logique (non historicité de la figure de Jésus 
                          Christ et son modelage sur la figure de Jean de Gamala)- 
                          subsistent bien les délits exposés en 
                          dénonciation, comme le démontrait également 
                          une analyse de jurisprudence sur ce point.  4) 
                          que le rejet de la demande d'incident probatoire était 
                          tout à fait inadmissible, puisque substantiellement 
                          sans motif, et non fondée puisque l'accomplissement 
                          de l'expertise requise aurait comporté une suspension 
                          du débat supérieure à 60 jours 
                          et ainsi elle consentait à l'exécuter 
                          dans la phase des investigations, comme prévu 
                          à l'art. 392 alinéa II du code de Procédure 
                          Pénale. On ne pouvait non plus soutenir la preuve 
                          de l'historicité de Jésus Christ. Le soussigné, 
                          pourtant, s'opposait au classement et demandait que 
                          le GIP ordonne au Ministère public de formuler 
                          directement l'inculpation ou bien de mener les activités 
                          d'instruction requises, inscrivant Don Enrico Righi 
                          dans le registre des enquêtes pour la présumée 
                          commission des délits inscrits aux articles 494 
                          et 661 du Code Pénale. Le GIP du tribunal de 
                          Viterbo, à la résiliation de la réserve 
                          assumée, rejetait l'opposition et prescrivait 
                          le classement de la procédure à charge 
                          d'inconnus , relevant que : 1) l'opposition aurait été 
                          inadmissible « puisque privée de la spécifique 
                          indication de l'objet des enquêtes supplétives 
                          et des relatifs éléments de preuve caractérisés 
                          par des nécessaires conditions de pertinence 
                          et d'importance » ; 2) que le problème 
                          de l'historicité de Jésus Christ « 
                          se prête mal à être abordée 
                          scientifiquement dans une salle de tribunal », 
                          3) que « aussi à vouloir considérer 
                          les inculpations inscrites aux art. 494 et 661 du C.P. 
                          hypothèses émises par Cascioli, doit se 
                          reconnaître comme le premier cas particulier de 
                          délit qui présuppose l'obtention d'un 
                          avantage, alors que pour intégrer la seconde 
                          il faut l'élément perturbant de l'imposture, 
                          ou bien d'un habile artifice apte à déterminer 
                          un abus de la crédulité populaire avec 
                          conséquence perturbation de l'ordre publique, 
                          éléments pas tous retrouvables dans le 
                          cas en examen » : Rien n'était dit en ce 
                          qui concerne l'ouverture due la procédure à 
                          charge des « inconnus » et rien sur Don 
                          Enrico Righi et rien non plus sur l'évaluation 
                          du seul délit moins grave effectué par 
                          le Ministère Public.  Encore, 
                          en date du 9.03.2004 celui qui écrit devait ainsi 
                          présenter, au Parquet de la République 
                          auprès du Tribunal de Viterbo la seconde dénonciation-plainte 
                          contre Don Enrico Righi (curé de Bagnoregio) 
                          demandant que le nom de la personne reconnue comme auteur 
                          suspect du délit (c'est à dire Don Enrico 
                          Righi) fut inscrit dans le registre des notices de délit, 
                          comme décrété avec autorité 
                          par la Cass. Sez. 119.5.1998 n° 1840, sur la base 
                          de la disposition de l'art. 335 alinéa I du Code 
                          de droit Pénal, dans lequel est prévu 
                          que « le ministère public inscrit immédiatement, 
                          dans le registre approprié conservé par 
                          le bureau, chaque notice de délit qui lui arrive 
                          ou qu'il a acquis de sa propre initiative mais encore, 
                          simultanément ou du moment dont il résulte, 
                          le nom de la personne à laquelle le même 
                          délit est attribué ». L'attribution 
                          formelle du crime à une personne contenue dans 
                          la notice du délit, détermine, en fait, 
                          l'obligation d'inscription de la même dans le 
                          registre relatif , selon Cass. Sez. I 26.6.1996 n° 
                          4384 et la nécessité des approfondissements 
                          d'instruction.  Tout 
                          ce qui a été déclaré ne 
                          paraît pas que la recherche de la vérité 
                          qui est un apanage de l'organisme judiciaire consente 
                          à opérer l'évidente distorsion 
                          des faits qui a été exécutée 
                          faisant résulter la procédure à 
                          charge d'inconnus à la place de la personne accusée. 
                          Un tel comportement du Doct. Renzo Petroselli, Substitut 
                          du Procureur de la République auprès du 
                          tribunal de Viterbo, apparaît à qui écrit, 
                          ne pas se montrer comme un acte qui puisse manifester 
                          le libre consentement de celui qui l'émet, mais 
                          pourrait plutôt, hypothétiquement, être 
                          finalisé à la faveur illicite ou au désavantage 
                          du parti en cause ou du tiers (en … ce qui regarde 
                          l'influente Eglise Catholique, si pourtant il faut respecter 
                          dans le milieu proprement de la confession, ça 
                          apparaît inacceptable dans le lieu en question 
                          ; du système étatique propre et de l'exercice 
                          de la souveraineté : ex art. 7 Cost : !)  On 
                          demande pourtant avec confiance à la S.V . d'accepter 
                          le manque d'indications de Don Enrico Righi lequel auteur 
                          suspect du délit de la procédure n° 
                          4998/2002R.G.Ign. constitue une précise violation 
                          des droits de norme pénale, ou de règles 
                          déontologiques, en raison du devoir d'attention 
                          et de correction qui incombe aux Juges du bureau du 
                          M.P. et si, dans la circonstance concrète, seraient 
                          respectés tous les droits des partis impliqués 
                          comme par exemple si ont été communiqué 
                          à l'investigateur les accusations les rendant 
                          flous dans des formes et des termes rituels ; comme 
                          aussi celui du représentant de ne pas répéter, 
                          avec aggravation des frais, ses demandes. Tout ceci 
                          dans le but d'engager des actions pénales s'ils 
                          se ravisaient des délits dans les comportements 
                          objets des censures floues du représentant. On 
                          fait demande d'être averti de toutes les dispositions 
                          qui seront adoptées et de revoir l'avis d'un 
                          éventuel classement.  Viterbo, 
                          24 Mars 2004. Luigi Cascioli.  Comme 
                          résultat de cet exposé contre le Substitut 
                          du Procureur de la République, le Doct. Renzo 
                          Petroselli, la partie, le match s'est transféré 
                          au tribunal de Perugia duquel dépend le Tribunal 
                          de Viterbo. Nous restons en attente de la réponse 
                          du Procureur en chef du Tribunal de Perugia pour décider 
                          des suites à donner.  -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Réponse 
                          au classement prescrit par le G.I.P. doct. Gaetano Mautone
 
 
 Av. 
                          Cass . Mauro FONZO  Corso 
                          Cavour, 84 – Tel. 0742/340038  0634 
                          – FOLIGNO ( PG).    AU 
                          PARQUET DE LA REPUBLIQUE  SAISI 
                          PAR LE TRIBUNAL DE VITERBO  Monsieur 
                          Luigi Cascioli , résidant à Roccalvecce 
                          (Viterbo), Via delle province 45/B et ayant élu 
                          électivement domicile aux fins du présent 
                          rapport-plainte, à Foligno (PG), Corso Cavour 
                          n° 84, au cabinet de travail de l'avocat FONZO Mauro, 
                          défenseur de confiance, en vertu de la nomination 
                          du présent acte ci-dessous    DECLARE 
                          QUE  En 
                          cette date du 13.9.2002 Monsieur Luigi Cascioli a présenté 
                          une dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi 
                          (Curé de Bagnoregio) pour les délits inscrits 
                          aux articles 661 et 494 du code pénale, car Don 
                          Righi présente comme figure historique Jésus 
                          Christ, alors que (selon des études philologiques 
                          approfondies et des exégèses textuelles 
                          conduites par Monsieur Cascioli en personne sur les 
                          Evangiles et sur la littérature patristique et 
                          sur l'historiographie du Ier et du IIème siècle 
                          ap. J.C.) Jésus Christ n'est pas un personnage 
                          historique et de ce fait sa figure fut changée 
                          et modelée sur le modèle d'un dénommé 
                          Jean de Gamala, pour le prouver, le dénonciateur 
                          joint une copie du bulletin paroissiale de l'Eglise 
                          de St Bonaventura de Bagnoregio (signé par Don 
                          Enrico Righi) et son propre livre « La fable du 
                          Christ » pour démonstration de la présupposée 
                          logique des délits (non-historicité de 
                          la figure de Jésus Christ et substitution de 
                          la figure de Jean de Gamala avec celle du Christ).  Par 
                          la suite, Monsieur Cascioli présentait un mémoire 
                          complémentaire, rappelant la subsistance de l'aggravante 
                          de l'art. 61 n° 9 du c.p. et joignat un autre matériel 
                          comme support.  Puis, 
                          le parti offensé demandait au Ministère 
                          Publique de procéder à un incident probatoire, 
                          aux termes de l'art. 394 C .P.P., demandant à 
                          un ou plusieurs experts le devoir d'accepter au moins 
                          l'historicité de la figure de Jésus Christ 
                          ; Cependant, l'Accusé resta inerte. Avec un acte 
                          notifié le 15/5/2003, le Publique Ministère 
                          demandait le classement de la notizia criminis , retenant 
                          la procédure contre inconnus ( ! ), avec comme 
                          motivation « les demandes d'investigations sont 
                          formellement inadmissibles et quand à l'objet 
                          … la dénonciation est manifestement non 
                          fondée et on ne peut relever des hypothèses 
                          de délit. » Contre une telle demande, Monsieur 
                          Cascioli présentait une opposition rituelle et 
                          au moment opportun, en déduisant : 1) que la 
                          procédure ne pouvait pas être répertoriée 
                          « contre inconnus » puisque dans la dénonciation 
                          comme dans les actes successifs était toujours 
                          convenu Don Enrico Righi comme responsable des faits 
                          intégrants du délit dénoncés 
                          et qu'il avait produit le bulletin paroissiale de et 
                          les avait signés.  2) 
                          que la disposition avait été répertoriée 
                          seulement relativement à la contravention de 
                          l'article 661 du C.P. et pas encore le plus grave de 
                          délit de l'article 494 du C.P.  3) 
                          qu'on ne pouvait déclarer l'évident manque 
                          de fondement de la notice de délit, puisque – 
                          une fois démontré le préposé 
                          logique (non historicité de la figure de Jésus 
                          Christ et son modelage sur la figure de Jean de Gamala)- 
                          subsistent bien les délits exposés en 
                          dénonciation, comme le démontrait également 
                          une analyse de jurisprudence sur ce point.  4) 
                          que le rejet de la demande d'incident probatoire était 
                          tout à fait inadmissible, puisque substantiellement 
                          sans motif, et non fondée puisque l'accomplissement 
                          de l'expertise requise aurait comporté une suspension 
                          du débat supérieure à 60 jours 
                          et ainsi elle consentait à l'exécuter 
                          dans la phase des investigations, comme prévu 
                          à l'art. 392 II alinéa du code de Procédure 
                          Pénale. On ne pouvait non plus soutenir la preuve 
                          de l'historicité du Christ. Monsieur Cascioli 
                          s'opposait au classement et demandait que le GIP ordonne 
                          au Ministère Public de formuler directement l'inculpation 
                          ou bien de mener les activités d'instruction 
                          requises, inscrivant Don Enrico Righi dans le registre 
                          des enquêtes pour la présumée commission 
                          des délits inscrits aux articles 494 et 661 du 
                          code pénale. Le GIP du tribunal de Viterbo, à 
                          la résiliation de la réserve assumée, 
                          rejetait l'opposition et prescrivait le classement de 
                          la procédure à charge d'inconnus , relevant 
                          que : 1) l'opposition aurait été inadmissible 
                          « puisque privée de la spécifique 
                          indication de l'objet des enquêtes supplétives 
                          et des relatifs éléments de preuve caractérisés 
                          par des nécessaires conditions de pertinence 
                          et d'importance » ; 2) que le problème 
                          de l'historicité de Jésus Christ « 
                          se prête mal à être abordée 
                          scientifiquement dans une salle de tribunal », 
                          3) que « aussi à vouloir considérer 
                          les inculpations inscrites aux art. 494 et 661 du C.P. 
                          émettant l'hypothèse que Cascioli, doit 
                          se reconnaître comme le premier cas particulier 
                          de délit présuppose l'obtention d'un avantage, 
                          alors que pour intégrer la seconde il faut l'élément 
                          perturbant de l'ordre public, éléments 
                          pas tous retrouvables dans le cas en examen » 
                          : Rien n'était dit en ce qui concerne l'ouverture 
                          due la procédure à charge des « 
                          inconnus » et rien sur Don Enrico Righi et rien 
                          non plus sur l'évaluation du seul délit 
                          moins grave effectué par le Ministère 
                          Public.  Tout 
                          ceci déclare Luigi Cascioli comme représenté 
                          ci-dessus et défendu,  IL 
                          EXPOSE COMME IL SUIT  La 
                          contestation de l'historicité de Jésus 
                          Christ n'est pas une nouveauté introduite par 
                          Monsieur Cascioli ( dont l'étude est seulement 
                          la plus récente et celle dans laquelle est le 
                          mieux décrit la reconstruction du « personnage 
                          Jésus Christ » sur la base de Jean de Gamala), 
                          mais elle s'inscrit dans le sillon d'une tradition d'études 
                          et de réfutations autorisées qui remontent 
                          déjà aux premiers siècles de l'ère 
                          chrétienne. Les thèses selon lesquelles 
                          Jésus n'aurait absolument pas vécu sont 
                          proposées dans de nombreux livres. Parmi ceux 
                          notoires également dans le milieu académique 
                          catholique on peut citer G.A. Wells. Le dit auteur qui 
                          est signalé par les plus éminents biblistes 
                          retient que toutes les vicissitudes de Jésus, 
                          ses miracles, sa doctrine et sa crucifixion sous Pons 
                          Pilate, sont inventées par les chrétiens 
                          seulement après 70 ap. J.C.  Précédemment, 
                          selon Wells, Jésus avait été annoncé 
                          comme la sagesse incarnée qu'en circonstances 
                          ignotes il avait été crucifié pour 
                          les péchés des hommes et était 
                          ressuscité. Cette thèse se base sur trois 
                          lignes argumentatives : a) La documentation extra chrétienne 
                          sur l'existence de Jésus est trop tardive pour 
                          qu'elle puisse se vanter d'une une probante force indépendante 
                          de la tradition chrétienne ( quand à Flavio 
                          Giuseppe, Wells retient que aucune des mentions de Jésus 
                          n'est authentique ). b ) Les Evangiles ne sont pas des 
                          sources sur la base desquelles on peut reconstruire 
                          des historiques dignes de foi, parce qu'ils ont été 
                          produits trop tard : après l'an 70. Ceci dans 
                          le cas d'éventuelles traditions palestiniennes 
                          signifierait une fracture radicale à l'intérieur 
                          de la tradition. En outre sur de vastes traits les évangiles 
                          sont dépendants les uns des autres et pour cela 
                          il n'est pas facile de vérifier une attestation 
                          multiple des vicissitudes de l'histoire de Jésus. 
                          Les évangiles sont des textes dans une large 
                          mesure légendaires et dans lesquels s'interpénètrent 
                          des conceptions théologiques de leurs auteurs 
                          , qui n'étaient pas hébreux et qui écrivèrent 
                          hors de la Palestine. c ) Les lettres de Saint Paul 
                          sont en effet des témoignages chrétiens 
                          archaïques, qui pourtant se taisent sur la vie 
                          de Jésus, en particulier sur ses miracles, sa 
                          doctrine et les circonstances précises de sa 
                          mort, Wells en conclue que l'auteur de ceux -ci ne savait 
                          rien à ce sujet .) Assez souvent les lettres 
                          paolines désignèrent Jésus Christ 
                          comme Rédempteur qui préexistant et incarné, 
                          qui à une époque imprécise a été 
                          crucifié comme juste souffrance pour les pêchés 
                          de son peuple. Pour Wells (exégèse catholique) 
                          ceci est un développement du mythe de la Sagesse 
                          préexistante qui a choisi d'habiter en Israël 
                          ( = s'est incarnée), dont l'affirmation sur la 
                          mort honteuse du juste ( le représentant de la 
                          Sagesse Sap. 2, 22), enrichie avec des passages prophétiques 
                          ( les chants de l'esclave de YHWH. Zc 12 , 10) furent 
                          interprétés en référence 
                          à une crucifixion. Ces mythes annonceront Pierre, 
                          Paul et les autres apôtres sur la base des apparitions 
                          ( Les Cor. 15, 22 ss), dans lesquelles le ressuscité 
                          s'était fait connaître à eux.  Le 
                          bulletin paroissial signé par Don Enrico Righi, 
                          que le représentant invoque de nouveau, malgré 
                          tout, contient des références aux machinations, 
                          aux offenses et aux terribles tourments subis par l'homme 
                          Jésus. Les références faites sont 
                          exposées dans le bulletin sans le remède 
                          de la critique historique qui ainsi induisent, qui sont 
                          des idéaux à induire à l'extrémisme 
                          religieux. Dans le même milieu théologique 
                          contemporain, il y a un fait que Don Enrico Righi ne 
                          peut ignorer , qui se reflète d'une façon 
                          très critique au problème de l'historicité 
                          de Jésus de Nazareth. Un exemple pour tous se 
                          trouve dans le travail du plus éminent chercheur 
                          biblique contemporain John P. Mayeur qui a écrit 
                          : « Un Ebreo Marginale » - Ripensare il 
                          Gesù storico – Le radici del problema e 
                          della persona. Cette œuvre a été 
                          imprimée avec l'éditeur de Mons. Patrick 
                          j. Sheridan , Vic. Gen. New York le 25 juin 2001 avec 
                          comme titre original : A Marginal Jew, Rethinking the 
                          Historical Jesus ; et il est, en Italie, publié 
                          depuis 2001 avec réédition en 2002 de 
                          la maison d'édition QUERINIANA de Brescia pour 
                          la collana BTC (BIBLIOTECA DI TEOLOGIA CONTEMPORANEA 
                          ) qui est répertoriée à l'adresse 
                          internet www.queriniana.it - Par conséquent, 
                          un prêtre, curé de Bagnoregio doit bien 
                          savoir qu'il existe un problème qui ne peut être 
                          tenu sous silence par rapport à la personne du 
                          Jésus historique. Si avec tout cela, et contrairement 
                          à tout ce qu'il sait, il tait ceci et ainsi l'emphatise 
                          comme dans le document ci-joint qu'il a fait, le scandale 
                          sur les souffrances de Jésus il ingéniera 
                          le lecteur au fanatisme avec perturbation de l'ordre 
                          public. Don Enrico Righi ( curé de Bagnoregio) 
                          a soutenu, dans le bulletin de la paroisse de S. Bonaventura 
                          in Bagnoregio n° 245 mars avril 2002, la figure 
                          historique de Jésus affirmant faussement qu'il 
                          est lui fils de Jésus et de Marie (personnages 
                          imaginaires et historiquement inexistants), né 
                          à Bethléem et grandit à Nazareth. 
                          Que la figure de Jésus soit construite entièrement 
                          sur celle d'un certain Jean de Gamala, fils de Judas 
                          dit le Galiléen, résulte d'une manière 
                          irréfutable d'une si grande quantité de 
                          preuves à ôter tout doute des falsifications 
                          opérées par les rédacteurs des 
                          évangiles. Il suffirait seulement de regarder 
                          la transformation de l'appellation Nazireo , avec laquelle 
                          était appelé Jean de Gamala, et celle 
                          de Nazareno donnée à Jésus, lequel 
                          habitant de Nazaret, pour démontrer de la manière 
                          la plus absolue la substitution de personne. Pour ces 
                          motifs Don Enrico Righi, curé de Bagnoregio, 
                          devra être inscrit dans les registres des investigations 
                          . « le nom de la personne reconnue comme auteur 
                          suspect du délit est Don Enrico Righi et pour 
                          cela il devra être inscrit dans le registre des 
                          notices de délit, comme décrété 
                          avec autorité par la Cass. Sez . 119.5.1998 n° 
                          1840, sur la base de la disposition de l'art. 335 alinéa 
                          II du code de droit pénal, dans lequel est prévu 
                          que « Le Ministère Public inscrit immédiatement 
                          , dans le registre approprié conservé 
                          par le bureau, chaque notice de délit qui lui 
                          arrive ou qu'il a acquis de sa propre initiative mais 
                          encore, simultanément, ou du moment dont il résulte, 
                          le nom de la personne à laquelle le même 
                          délit est attribué ». L'attribution 
                          formelle des crimes à une personne contenue dans 
                          la notice du délit, détermine, en fait, 
                          l'obligation d'inscription de la même dans le 
                          registre relatif, selon Cass. Sez .I 26.6 1996 n° 
                          4384 et la nécessité des approfondissements 
                          d'instruction. Sur ce point il est nécessaire 
                          que la question soit approfondie en cour juridique selon 
                          la loi de notre Constitution qui impose comme les juges 
                          doivent se soumettre seulement à la loi (art. 
                          101) et non aux conventions religieuses ( di chicchessia 
                          ) et que l'action pénale est obligatoire (art. 
                          112). Là on retient la manière controversée 
                          et on doit faire recours à l'instrument de l'expertise 
                          noté à l'art. 220 du C.P.P., qui sert 
                          à porter à la connaissance du juge tout 
                          le savoir technique qui n'est pas en sa possession. Par 
                          conséquent on demande déjà en cette 
                          cour l'exécution d'une thèse d'expertise 
                          pour déterminer comment, en l'état des 
                          actuelles résultantes de la critique historique 
                          et déjà également en milieu religieux, 
                          le problème d'une invention de la personne « 
                          du Jésus historique » est actuel. L'épreuve 
                          est de s'assumer dans les confrontations de Don Enrico 
                          Righi et c'est cela de déterminer si on a la 
                          volonté et la conscience de générer 
                          le fanatisme au sujet de la nature historique de Jésus 
                          le Christ. La subsistance d'une contrevérité 
                          de base et la conscience au sujet de cette contrevérité 
                          doit être évaluée aussi sur le fait 
                          que se produit récemment ces excès de 
                          fanatisme religieux qui trouvent dans le soulignage 
                          truculent, également cinématographique, 
                          de la passion du Christ, résonance et possible 
                          perturbation de la cohabitation civile. Dans une telle 
                          situation il incombe aux ministres du culte la responsabilité 
                          de ne pas occulter le problème de la personne 
                          Jésus alors qu'il est connu par eux mais caché. 
                          Un tel approfondissement parvient au moment investigateur 
                          et nécessaire que Don Enrico Righi soit inscrit 
                          dans le registre des investigations. Successivement 
                          à l'investigation sur la conscience dans le ministère 
                          du culte indiqué au sujet du manque de fondement 
                          de la figure historique de Jésus et donc sur 
                          le caractère volontaire de perturbation qui s'obtient 
                          dans les âmes des destinataires de ses communications 
                          écrites et orales avec la présentation 
                          de la passion du Christ, cela pourra donner lieu à 
                          une expertise ( à confier à un ou plusieurs 
                          experts en histoire des religions et/ou en histoire 
                          romaine et du Moyen-Orient relatives à la période 
                          du Ier s. av. J.C.-II s. ap. J.C., ainsi qu'en épigraphie 
                          et paléographie dans les langues hébraïques, 
                          araméennes, grecque et latine) qui devra examiner 
                          en détail les sources originaires et contemporaines 
                          à l'époque de la présumée 
                          vie de Jésus le Christ et, si possible, dans 
                          leur langue de rédaction originaire et pas en 
                          traduction qui pourraient trahir la signification primitive 
                          des paroles utilisée, vérifiant l'existence 
                          d'éventuelles extrapolations et entrecroisant 
                          les résultats documentés avec les sources 
                          épigraphiques, matérielles, monumentales, 
                          topographiques, paléographiques, etc. … 
                          L'avantage du fait qu'on continue à taire les 
                          évidences de la critique historique également 
                          acquise dans la théologie contemporaine réside 
                          dans le majeur prosélytisme déterminé 
                          par l'imposture, prosélytisme qui détermine 
                          une majeure quantité d'offre et un majeur quota 
                          de 8 pour mille, donc des avantages directs et indirects 
                          au coût connu pour perturber l'ordre public qui 
                          obtient l'indiction au fanatisme. L'artifice réside 
                          dans le fait de présenter comme historique un 
                          personnage mythique et fruit de l'invention (Jésus 
                          le Christ), l'abus de la crédulité populaire 
                          qui a avec l'enseignement répété 
                          de tels mensonges et réside dans la perturbation 
                          du droit de chacun à croire et à ne pas 
                          croire, au moyen de telles représentations trompeuses 
                          des faits (accorder l'historicité à un 
                          personnage inventé attribue plus de force aux 
                          idées attribuées à celles-ci). 
                          Sur ce point, la jurisprudence a retenu qu'il y avait 
                          dérangement de l'ordre public en cas de préjudices 
                          du droit à une information correcte et responsable 
                          apte à former une libre conviction propre, à 
                          charge d'une série indéterminée 
                          de personnes (Cass. Sez. II 1/4/1966). Pourtant, on 
                          demande que le Ministère Public consentît 
                          d'inscrire, avec chaque effet en conséquence 
                          de la loi, Don Enrico Righi dans le registre des investigations, 
                          pour les délits supposés ci-dessus. Conformément. 
                           Viterbo, 
                          9 mars 2004 Av. Cass . Mauro FONZO  Luigi 
                          Cascioli Corso Cavour, 84 – Tel. 0742 340038  • 
                          FOLIGNO – Perugia    PROCURATION 
                          SPECIALE  Je 
                          déclare comme mon défenseur dans la présente 
                          procédure l'av. Mauro Fonzo, auquel je confère 
                          tous les plus amples pouvoirs de loi, y compris la présente 
                          éxposé-dénonciation et de rédiger 
                          des mémoires complémentaires, demander 
                          un incident probatoire ex art. 394 du c.p.p. et avec 
                          réserve de constitution de parti civile. Avec 
                          l'expresse requête d'être avisé ex. 
                          art. 408 c.p.p. dans le cas de classement de la notice 
                          criminis.  Ci-joint 
                          la copie du bulletin Mars-Avril 2002 signé par 
                          Don Enrico Righi.  Ci-joint 
                          déposé le livre « La fable de Dieu 
                          » et certificat de l'état civil de Don 
                          Enrico Righi.  A 
                          élu domicile en son bureau de Foligno, corso 
                          Cavour n°84.  Viterbo, 
                          9 mars 2004  Signé 
                          Luigi Cascioli  Signature 
                          authentique Av. Mauro Fonzo   Corso Cavour, 84 – Tel : 0742340038
 06034 
                          FOLIGNO (PG).    PROCURATION 
                          DE LA REPUBLIQUE  c/o 
                          TRIBUNAL DE VITERBO  DEPOSE 
                          EN CHANCELLERIE  LE 
                          09 - 03 – 04  Le 
                          directeur de chancellerie  (Allegrini 
                          Luciano)  --------------------------------------------------------------------------------------------- La 
                          fuite récidive de l' Eglise confirme la non existence 
                          de Jésus dit le Christ  REPONSE 
                          DE LUIGI CASCIOLI A' L'ARCHIVAGE   
                          Jamais il n'a été vérifié 
                          dans l'histoire de la législation italienne et 
                          mondiale que fût déclaré inconnu 
                          un obstiné parfaitement confirmé en dénonciation 
                          avec nom, prénom, adresse et profession.  Ce 
                          cas, unique au monde, à été vérifié 
                          au Tribunal de Viterbo à propos de la plainte 
                          portée par Luigi Cascioli contre Don Enrico Rhigi, 
                          né à Bagnoregio (VT) le 17/02/1930 habitant 
                          45, via G. Matteotti et y résidant depuis sa 
                          naissance (voir le certificat ci-dessus reporté). 
                           Cette 
                          incroyable déformation de la vérité, 
                          exécuté par le Ministère Public 
                          Doct. Renzo Petroselli (voir demande de classement du 
                          …) et confirmé par le Juge Gaetano Mautone 
                          le …….. , ne peut être que le résultat 
                          d'une imposition exercée par l'Eglise (corruptrice 
                          externe) sur deux magistrats pour éviter un procès 
                          qui se serait inexorablement conclu avec la démonstration 
                          de la non existence historique du Christ.  L'Eglise, 
                          n'ayant pas d'argumentation valide pour soutenir l'existence 
                          de Jésus, existence qui jusqu'à maintenant 
                          a établi avec plagia, le chantage et la violence, 
                          ne pouvant se sauver à travers une action de 
                          répression directe contre Luigi Cascioli, dont 
                          le tranchement de la tête, la pendaison ou le 
                          bûcher, a cherché à escamoter le 
                          procès derrière une fuite que les juges 
                          ont soutenu la déclarant « Inconnue ». 
                           Le 
                          grand pouvoir économique et idéologique 
                          des ambitions d'une domination universelle qui tient 
                          le monde en soumission, a démontré être 
                          en réalité tellement faible et précaire 
                          à la première attaque reçue de 
                          manière claire et décidée, elle 
                          en résulte, avec sa fugue, franchement ridicule. 
                           Si 
                          le Christ a vraiment existé, pourquoi l'Eglise 
                          n'est-elle pas venue le démontrer dans un tribunal 
                          ? Quelle meilleure occasion pour affirmer, une fois 
                          pour toutes, l'existence de Jésus à tous 
                          ceux qui la nient ?  Si 
                          les ministres de l'Eglise sont vraiment convaincus de 
                          l'incarnation du Christ comme ils démontrent 
                          l'être dans les prêches et dans les (manca 
                          una parola nel testo in italiano ?) , s'ils sont déclarés 
                          inconnus quand il leur est demandé de soutenir 
                          dans un tribunal que Jésus, fils de Marie et 
                          Joseph, est né à Bethlehem, a vécu 
                          à Nazareth et est mort sur la croix sous Ponce 
                          Pilate ? Pourquoi sont-ils restés fuyants devant 
                          l'accusation d'être des partisans du faux ? Il 
                          est possible que parmi tous les théologiens qui 
                          gonflent vos rangs, des écrivains et historiens 
                          catholiques, des exégètes et prêtres 
                          exorcistes, vous n'ayez pas trouvé un capable 
                          de contester les accusations qu'un petit homme, lequel 
                          est Luigi Cascioli, vous a retourné avec sa dénonciation-plainte 
                          ?  Qu'est 
                          ce qu'on peut déduire d'autre du fait que vous 
                          n'avez pas réussi à trouver une preuve, 
                          une seule seulement, de l'existence du Christ parmi 
                          les innombrables traités de vos docteurs, parmi 
                          ces Pères de l'Eglise que vous citez quotidiennement 
                          pour soutenir vos vérités, si non que 
                          vous êtes parmi les premiers à ne pas croire 
                          à l'humanisation du héros sur lequel vous 
                          basez votre impérialisme ?  La 
                          foi que vous pourriez invoquer pour justifier votre 
                          imposture gardez-la dans vos églises, réservez-la 
                          à votre monde divin fait d'art abstrait et de 
                          chimères, puisque dans un tribunal terrien administré 
                          par un code pénal humain, qui exclue toute justification 
                          basée sur la superstition, la magie, les dogmes 
                          et les mystères, les vérités sont 
                          acceptées seulement derrière des preuves 
                          soutenues par la raison et le bon sens.  Dans 
                          la situation dans laquelle vous vous êtes mis, 
                          fuyant devant un procès humain, toute votre arrogance 
                          basée sur le divin, si c'est tellement vain d'être 
                          réduit à subire, sans possibilité 
                          de réaction, chaque insulte et accusation qui 
                          est retournée contre vous, de la plus petite 
                          à la plus grande y compris cet intouchable Souverain 
                          Pontife que aucun codifie qu'il soit divin ou humain 
                          ; comme aucune voiture blindée anti-projectiles, 
                          ne pourra désormais plus défendre de la 
                          bombe qui leur a été mise sous les fesses 
                          avec la dénonciation-plainte présentée 
                          au tribunal de Viterbo contre un de ses ministre le 
                          21 nov 2002.  « 
                          Lâches, imposteurs, pédérastes, 
                          ladres, escrocs, faussaires, dupeurs, charlatans, bourreaux, 
                          usuriers, faccendieri , assassins, adeptes de massacres 
                          et de génocides, tortionnaires, traîtres, 
                          bâtards, incestueux, proxénètes, 
                          syphilitiques, empoisonneurs, mafieux, culatoni , sadiques, 
                          masochistes, violeurs, névrotiques, stigmatisés… 
                          » seront les épithètes que dorénavant 
                          on pourra librement crier contre vous qui avez imposè 
                          un Christ que vous même, avec votre fuite, avez 
                          demontrè et confirmè être historiquement 
                          inexistant.  Réduits 
                          comme vous êtes, avec votre déclaration 
                          fuyante à une bande de chacals fuyants, encore 
                          plus vils et plus plagiant, bientôt ils trouveront 
                          le courage de vous lancer toute la haine et la rancœur 
                          qui s'est accumulée en vingt siècles d'abus, 
                          de violence et de chantages subis par votre immoralité 
                          et votre obscurantisme.  Fuyez, 
                          continuez également à les déclarer 
                          inconnus , mais ce ne sera pas en retournant à 
                          l'anonymat que vous pourrez vous sauver. Votre heure 
                          est sonnée, Le Christ est mort et vous avec lui. 
                          Il ne vous reste qu'a disparaître profondément 
                          dans cet enfer que vous avez construit vous-même 
                          pour soutenir votre honteuse imposture.  Pour 
                          vous démontrer à quel point je ne vous 
                          crains pas, je veux réserver une appellation 
                          particulière à votre Saint Père 
                          , l'appelant « Barjiona » mais pas avec 
                          la signification de « fils de Giona » que 
                          vous avez voulu lui donner en le référant 
                          à son prédécesseur Pierre, mais 
                          avec celle qui exprime vraiment dans sa langue originaire 
                          araméenne « fuyant » exactement comme 
                          il a démontré être de déclarant 
                          « inconnu » par les bouches du Ministère 
                          Public du Doct. Renzo Petroselli et du Juge pour les 
                          investigations préliminaires le doct. Gaetano 
                          Mautone : « Jean-Paul II dit Barjiona ». 
                          (Voir sur le dossier PROCES le chapitre à ce 
                          propos « Les Apôtres du Jesus »). 
                           Luigi 
                          Cascioli.  Note 
                          : A ceux qui m'ont dit que je peux être dénoncé 
                          pour ce que j'ai écrit, j'ai répondu ferme 
                          et décidé : « C'est ce que je veux 
                          être ! ».  ---------------------------------------------------------------------------------------------
 Réponse du Juge des Investigations Préliminaires 
                          à l'opposition de Luigi Cascioli.
 
 
 TRIBUNAL DE VITERBO
 BUREAU 
                          DU JUGE POUR LES INVESTIGATIONS PRELIMINAIRES  Le 
                          Juge pour les investigations préliminaires,  pourvoyant 
                          à l'opposition de la demande du classement de 
                          la procédure n°4998/2002 R.G. à charge 
                          des Inconnus avancée par Luigi Cascioli ;  à 
                          la lecture des actes de la procédure et à 
                          l'écoute des partis parus à la chambre 
                          du conseil ;  je 
                          déclare que l'opposition proposée par 
                          Luigi Cascioli résulte inadmissible, puisque 
                          prive de la spécifique indication d'objet des 
                          investigations supplétoires et des relatifs éléments 
                          de preuve caractérisés par les nécessaires 
                          conditions de pertinence et d'importance ( Cass. SS.UU. 
                          14.4.96, Testa ) ;  retenu 
                          que, le mérite, de la présupposée 
                          logique d'où part le dénonciateur est 
                          la « certitude » du fondement de sa propre 
                          recherche historique sur la fausseté de la figure 
                          et de l'existence même du Christ, argument qui, 
                          par sa nature, à cause des séculaires 
                          disputes théologiques et historiques sur ce point, 
                          n'apparaît pas susceptible d'utiles approfondissements 
                          instruits en cour pénale et, d'une autre part, 
                          se prête mal à être affronté 
                          scientifiquement dans la salle d'un tribunal ;  que, 
                          du reste, à vouloir considérer également 
                          les charges des articles 494 et 661 c.p. supposées 
                          par Cascioli, doit se reconnaître comme le cas 
                          particulier de délit qui présuppose l'obtention 
                          d'avantages, tandis que pour intégrer la seconde 
                          il faut l'élément de l'imposture, ou bien 
                          d'un habile artifice apte à déterminer 
                          un abus de la crédulité populaire avec 
                          conséquence perturbation de l'ordre publique, 
                          tous ces éléments n'étant pas retrouvables 
                          dans ce cas en examen ;  qui, 
                          pour les considérations supérieures, est 
                          disposé au classement du contexte.  P.Q.M. 
                           Vu 
                          les articles 409, 410 c.p.p.,  Il 
                          rejette l'opposition et prescrit le classement de la 
                          procédure à charge des inconnus, ordonnant 
                          la restitution des actes au P.M.  Envoyé 
                          à la Chancellerie pour exécution.  Viterbo, 
                          le 28.11.2003.  Dep. 
                          28/11/03  Il 
                          G.I.P.  Doct. 
                          Gaetano Mautone.   Mise aux archives - audience 27/01/2006.
 Annotations et commentaires de Luigi Cascioli.
 La 
                          numération des paragraphes mise à côté 
                          des motifs allégués pour justifier la 
                          mise aux archives a été ajoutée 
                          afin de faciliter la compréhension du commentaire.  
                          Puisque la mise aux archives a été écrite 
                          avec un langage juridique qui pourrait résulter, 
                          tout du moins en partie, de difficile compréhension, 
                          je reporterai les passages en question en en simplifiant 
                          la forme, peu à peu que je les soumettrai au 
                          commentaire.En premier je fais remarquer la faute reportée 
                          dans la septième ligne où l’on écrit 
                          en tant que opposant le nom de Righi (!?!) à 
                          la place de Cascioli, faute laquelle, tout en étant 
                          suffisante pour faire annuler l'ordonnance, je préfère 
                          ignorer car elle représente pour moi, au cas 
                          où je le ferai, seulement un retard au déroulement 
                          de mon programme que j'entends mener à terme 
                          en m’adressant le plus tôt possible au Tribunal 
                          de Strasbourg.
 Faite cette remarque, passons au commentaire de la mise 
                          aux archives qui se conclue avec « la menace d’une 
                          éventuelle accusation de calomnie envers le dénonçant 
                          ».
 1° 
                          motif: Responsabilité de l'État "Le 
                          Juge pour les enquêtes Préliminaires (Dr. 
                          Gaetano Mautone), lu les actes et entendu les parties 
                          en chambre de Conseil (référence à 
                          l'audience qui s'est tenue à portes fermées 
                          le 27 janvier 2006 durant laquelle ont parlé 
                          l'avocat Fonzo pour Cascioli Luigi et l'Avocat Bruno 
                          pour don Enrico Righi), en considérant que le 
                          seul responsable des crimes prévus par les articles 
                          661 et 494 doit être considéré l'État 
                          en tant que P.A. (Publique Administration) car c’est 
                          à lui qu' appartient la tutelle de la foi et 
                          de l'ordre public, repousse l'opposition de Cascioli 
                          et par conséquence sa dénonciation contre 
                          don Enrico Righi."Explication: puisque les articles 661 et 494 se réfèrent 
                          aux crimes commis contre l'ordre et la foi publique, 
                          et l'ordre et la foi publique sont confiées à 
                          l'État, au cas où ces articles n’étaient 
                          pas respectés par quelqu'un, celui qui doit être 
                          accusé pour leur transgression, ce n'est pas 
                          celui qui les a commis, mais l'État qui lui a 
                          permis de la commettre. Cela équivaut à 
                          dire pratiquement que la faute dérivante d'une 
                          escroquerie ne doit pas être attribuée 
                          à celui qui il la commet mais aux gendarmes qui 
                          n'ont pas empêché à l'escroc de 
                          la réaliser.
 2° 
                          motif: Manque d’arguments supplémentaires. "L'opposition 
                          proposée par Cascioli contre la mise aux archives 
                          relative à sa seconde dénonciation (référence 
                          à celle déposée le 23 mai 2003) 
                          manque d’arguments supplémentaires à 
                          ceux déjà exposés dans la première 
                          dénonciation du 13 septembre 2002 qui auraient 
                          du y être afin que le tribunal la puisse prendre 
                          en considération pour la soumettre à d’autres 
                          enquêtes."À part le fait que la seconde dénonciation 
                          du 20 mai 2003 fut déposée par Cascioli 
                          car la première avait été tellement 
                          déformée qu’elle résultait 
                          méconnaissable à cause des falsifications 
                          graves effectuées par le P.M. Petroselli et par 
                          le juge Mautone, comme celles d'avoir déclaré 
                          "inconnu" l'accusé, tout en ayant fourni 
                          de lui le nom, le prénom, l'adresse et la profession, 
                          et d'avoir ignoré l'art. 494 qui avait été 
                          bien spécifié dans sa violation (voir 
                          la dénonciation du 13 septembre 2002 et relative 
                          mise aux archives du 27 mars 2003), on voudrait savoir 
                          à quelles enquêtes précédentes 
                          se réfère le Juge Mautone si lui-même 
                          affirme de ne jamais les avoir faites lorsque comme 
                          motivation pour repousser la dénonciation il 
                          écrit: "On remet aux archives parce que 
                          les enquêtes sont inadmissibles soit pour la forme 
                          que pour l'objet de la vérification."
 Si les enquêtes avaient vraiment été 
                          effectuées, n'aurait-elle pas été 
                          plus que suffisante, pour procéder à la 
                          vérification sur l'historicité de Christ, 
                          la preuve, une parmi les nombreuses reportées 
                          dans la dénonciation, qui nous vient de l’extrait 
                          de "Antiquités Judaïques" de Joseph 
                          Flavius (..) duquel résulte que Simon Pierre 
                          et Jacques ne sont pas frères de Jésus, 
                          comme don Enrico déclare dans son Bulletin Paroissial, 
                          mais deux fils de Judas le Galiléen condamnés 
                          à la crucifixion par le procureur Cuspio Fado 
                          avec l'accusation de zélotes révolutionnaires?
 Découvrir ensuite, comme conséquence de 
                          ces parentés, que Jésus, alias Jean de 
                          Gamala, était lui aussi fils de Judas le Galiléen, 
                          cela n'aurait pas été trop difficile si 
                          vraiment aurait été faite cette enquête 
                          que Cascioli vainement avait demandé par le moyen 
                          de l'incident probatoire.
 3° 
                          motif: Affirmations discutables et controversées.
 "L’ont doit considérer insignifiant, 
                          aux fins d'une enquête, une vérification 
                          sur l'existence historique de Christ car les résultats 
                          pourraient porter à des affirmations discutables 
                          et controversées non utiles à l'évaluation 
                          correcte des faits en examen."
 Discutables s'il s'agissait d'un procès théologique 
                          tendant à démontrer une existence transcendantale, 
                          mais puisque la dénonciation se réfère 
                          à la non existence d'un homme, tel certain Jésus 
                          dit le Christ déclaré né, vécu 
                          et mort, les sujets traités seraient biensur 
                          controversés (comme d'ailleurs il y en a dans 
                          toutes les causes), mais non pas non jugeables puisqu’il 
                          s’agit d’une controverse qui ne se base 
                          pas sur des hypothèses abstraites et transcendantales, 
                          mais sur des preuves soutenues par une documentation 
                          tangible, contrôlable et donc compréhensible 
                          non pas seulement par un juge que l’on suppose 
                          soit formé professionnellement pour décider 
                          sur la réalité des faits, mais par quiconque 
                          d’autre qui, libre de tout conditionnement ou 
                          préjugé fidéiste, soit en possession 
                          d'un minimum d'intelligence et de bon sens.
 
 4° 
                          motif: Être ou ne pas être?Leçons de théologie du Tribunal de Viterbe.
 "Un 
                          autre motif pour lequel on rejète la dénonciation 
                          de Cascioli vient du fait qu'Enrico Righi n’a 
                          pas affirmé dans le Bulletin Paroissial de mars-avril 
                          2002 l’existence historique de Jésus, mais 
                          il a seulement soutenu son humanité, c'est-à-dire 
                          l'essence de l'homme."Oui, vous avez bien lu! Il y est écrit vraiment 
                          ainsi: "Don Enrico Righi a soutenu l'humanité 
                          de Jésus, c'est-à-dire son essence d'homme, 
                          mais il n’en a pas affirmé l'existence 
                          historique."
 Mais qu'est-ce que cela signifie, qu'est-ce que cela 
                          veut dire « il a soutenu l'humanité mais 
                          il n'a pas affirmé l'existence historique? ». 
                          Que l’on m'explique comme il soit possible de 
                          nier l'historicité de quelqu'un après 
                          en avoir confirmé l'existence humaine en reportant 
                          de lui le leiu de naissance, la paternité, la 
                          maternité, les fraternités et laprofession. 
                          Que l’on me fasse comprendre comme l’on 
                          puisse dire d'une personne, de la même personne, 
                          qu'elle a existé et en même temps déclarer 
                          qu'elle n'a pas existé.
 Un absurde qui, repoussé par la raison, peut 
                          avoir été soutenu par un juge seulement 
                          derrière un conseil de l'Église laquelle, 
                          maîtresse comme elle est dans l'altération 
                          des vérités, a pensé se sauver 
                          de la dénonciation en séparant la figure 
                          de Christ en deux entités, celle religieuse, 
                          à laquelle, en tant qu’essence humaine, 
                          il est possible de traverser les murs (Gv. 20,19) même 
                          sans besoin de preuves, et celle historique, à 
                          laquelle il n'est pas permis d'entrer et sortir d'une 
                          pièce même pas au travers de la porte ou 
                          en sautant une fenêtre si l’on ne se porte 
                          pas derrière une documentation qui le confirme.
 La première, celle fidéiste à laquelle 
                          il est permis de marcher sur les eaux et à la 
                          laquelle existence il faut croire pour une imposition 
                          dogmatique, a été reconnue existante, 
                          celle historique, qui doit par contre nager pour se 
                          tenir à la surface, a été repoussée 
                          pour pouvoir dévier celui qui aurait dû 
                          être un procès laïque, basé 
                          sur la raison et le bon sens, en un procès religieux 
                          dont les fondements théologiques auraient été 
                          la cause, avec leur caractère abstrait et leurs 
                          extravagances, des "affirmations discutables et 
                          controversées" non pas évaluables, 
                          que le juge Mautone invoque au N° 3 comme motif 
                          pour repousser la dénonciation.
 L'application de ce stratagème de transformer 
                          un procès laïque en un religieux, le recours 
                          à la tromperie de faire résulter théologique 
                          un débat qui aurait être exclusivement 
                          historique, avait été prévu en 
                          étant trop facile comprendre que celle-ci aurait 
                          été la seule ancre de salut qu’auraient 
                          pu saisir soit les juges que l'Église; les premiers 
                          pour se libérer, même au coût de 
                          faire tomber dans le ridicule toute la justice italienne, 
                          d'une enquête qui aurait pu se conclure avec une 
                          sentence qui les faisait trembler, la seconde pour éviter 
                          sa fin.
 « Ce procès ne doit pas se faire », 
                          a ordonné la "Corruptrice Eternelle", 
                          et tout est fini, comme il avait été établi 
                          qu'il finît, avec une mise aux archives dont les 
                          motivations, pretextueuses et arbitraires, repoussées 
                          par la raison et par le bon sens, ne peuvent qu'avoir 
                          donné à l'Église une victoire apparente 
                          et illusoire, c'est-à-dire une victoire de Phyrrus 
                          qui équivaut à une terrible défaite.
 Que pouvait-on espérer de plus d'un tribunal 
                          italien et de la même Église du moment 
                          que pour repousser une dénonciation affirmant 
                          la non existence de Christ, ils sont arrivés 
                          à faire admettre par le même accusé, 
                          don Enrico, à lui même, la non existence 
                          historique de Christ?
 Si tout ceci était arrivé en autres temps, 
                          de beaucoup plus que d'un crime de calomnie Cascioli 
                          aurait été accusé! Dans un tribunal 
                          de la Sainte Inquisition le mot "opiniâtreté" 
                          utilisée par le Juge Mautone aurait acquis le 
                          sens de "relapso", et l'hérétique 
                          aurait été traduit au bûcher en 
                          civière après lui avoir rompu les os pour 
                          lui arracher ensuite la langue avant de donner feu à 
                          une pile de bois précédemment trempée 
                          afin que son agonie puisse se prolonger de la manière 
                          la plus atroce et cléricale.
 
 5° motif: Le bulletin paroissial est l'extériorisation 
                          d'un droit
 Ce 
                          5° motif n'est u'un panégyrique tendant à 
                          exalter et à confirmer légalement les 
                          fonctions sacerdotales. 6° 
                          motif: Explication des crimes hypothisés dans 
                          la dénonciation (artt. 494-661).  Le 
                          commentaire sur ces crimes, déjà fait 
                          et reporté sur « Commentaire à la 
                          demande de mise aux archives du 15 septembre 2004 » 
                          (voir "Procès" sur www.luigicascioli.it), 
                          sera repris avec renouvelée "opiniâtreté" 
                          dans le recours qui sera présenté au tribunal 
                          de Strasbourg.
 Conclusion: Quelque soit la décision du Tribunal 
                          de Strasbourg, (connaissant les tentacules de la "Grande 
                          Pieuvre") même si tout est possible, une 
                          chose est de toute façon certaine: l'Église 
                          en sortira déchiquetée et avec les os 
                          cassés… et cela me suffit déjà 
                          pour pouvoir dire: « Je ne vécus pas en 
                          vain! »
  
                          Luigi Cascioli ---------------------------------------------------------------------------------------------   Rapport 
                          de l’audience qui s’est tenue à Viterbo 
                          le 27 janvier 2006  Comme 
                          prévu, Don Enrico était absent.L’avocat de Cascioli Luigi, Me Mauro Fonzo, a 
                          parlé le premier. Pour démontrer le fondement 
                          des accusations énoncées dans la plainte, 
                          il a étayé son réquisitoire de 
                          nombreux exemples d’exégètes qui 
                          nient la figure historique de Jésus, citant même 
                          parmi eux certains de matrice chrétienne et croyants, 
                          tel Renan.
 Me Severo Bruno, avocat de Enrico Righi, au contraire, 
                          ignorant tout argument relatif à l’existence 
                          du Christ, a dévié du chef de l’accusation, 
                          soutenant que la responsabilité d’un faux 
                          historique éventuel n’est pas imputable 
                          à don Enrico Righi mais à ceux qui l’ont 
                          affirmé avant lui.
 Pratiquement il a voulu dire : « Au cas ou Christ 
                          ne resultrerait pas existé, ce sont les auteurs 
                          des Textes Sacrés qui mériteraient d’être 
                          condamnés et non don Enrico qui s’est borné 
                          à répéter ce que d’autres 
                          ont écrit », comme si la personne qui vend 
                          le poisonne doit pas etre consideré responsable 
                          des dommages qu'il peur produire si la formule a été 
                          inventée par un autre.
 C’est par cette forme de défense qui tend 
                          à décharger sur des personnes n’existant 
                          plus et par conséquent non punissables par la 
                          loi, que l’Eglise démontre toute sa faiblesse. 
                          Sachant qu’elle ne pourra jamais démontrer 
                          l’existence historique du Christ, son seul but 
                          est de trouver n’importe quel prétexte, 
                          même le plus vil, pour faire échouer une 
                          accusation dont elle sait bien qu’elle pourrait 
                          se terminer par une sentence qui signerait sa fin si 
                          elle allait à son terme.
 Après avoir écouté les deux parties, 
                          le juge Gaetano Mautone s’est donné du 
                          temps pour prendre sa décision.
 Laquelle des deux versions prendra-t-il en considération 
                          ?
 Dans le respect de la procédure judiciaire, les 
                          versions que peut adopter le juge pour émettre 
                          sa sentence sont au nombre de deux :
 1) Se baser sur une compétence personnelle en 
                          la matière qui serait, dans ce cas, la ‘’christologie’’.
 2) Dans le cas contraire, nommer un CTU (représenté 
                          dans ce cas par un expert des Textes Sacrés) 
                          qui établirait si les preuves avancées 
                          dans l’accusation doivent être repoussées 
                          ou sont considérées valables pour donner 
                          lieu à un procès.
 La loi sera-t-elle respectée ? Connaissant les 
                          motifs invoqués pour justifier les précédents 
                          classements aux archives, que peut-on supposer d’autre 
                          que la répétition des mêmes abus 
                          si nous ne nourrissions une certaine espérance 
                          de voir les choses changer du fait que cette fois-ci 
                          la sentence ne restera pas dans le cadre d’une 
                          petite commune informée avec partialité 
                          par un petit journal de province, mais ira bien au-delà, 
                          intéressant tout le monde? Et le tribunal de 
                          Viterbo devra bien en tenir compte de sela s’il 
                          ne veut pas compromettre l’honneur d’une 
                          nation laïque et indépendante, au moins 
                          pour ce qui concerne la justice, comme l’a déjà 
                          fait la presse nationale dont le silence sur ce procès 
                          a démontré à quel point l’Italie 
                          s’est réduite à un fief du Vatican.
 Luigi 
                          Cascioli --------------------------------------------------------------------------------------------   A' 
                          la suite del la nouvelle confirmation eue par la Cour 
                          d'Appel de Rome, le Juge Gaetano Mautone a fixe' la prochaine audience
 le 27/01/2006
  ===================================
 
  TRIBUNAL DE VITERBO
 BUREAU DU JUGE POUR LES ENQUETES
 PRELIMINAIRES
 
 DECRET DE FIXATION DE L'AUDIENCE
 LA SUITE DEL LA DEMANDE DE MISE AUX ARCHIVES
 NON ACCUEILLIE
 ART. 409 - COMMA 2-3 CPP
    
                          Le juge pour les enquetes preliminaires lu les actes du procede' penal ci-dessus indique' a' 
                          l'egard de
 Righi Enrico
 en ordre au delit relatif a' l'art. 661 CP a' Bagnoregio 
                          le
 9/03/2004
 prise en examen la demande de mise aux archives du Procureur 
                          de la Republique
  
                          vue l'opposition de la partie offense'considere' que la demande a' l'Etat ne peut etre accuillie
 vu l'art. 409 comma 2 CPP
 
 FIXE
  
                          la date de l'audience a' la Chambre du Conseil pour 
                          le jour 27/01/2006 a' 9h00 a' Viterbo, rue G.Falcone et P.Boresellino 
                          Loc.
 Riello Viterbo (NOUVEAU PALAIS DE JUSTICE), en disposant 
                          en aviser
 le Procureur de la Republique, la personne soumise aux
 enquetes et la personne offense'e par le delit
 - Righi Enrico, enquete', domicile choisi aupres de 
                          l'avocat Severo Bruno rue Cavour 67 Viterbo
 - Avocat Severo Bruno rue Cavour 67 Viterbo
 - Cascioli Luigi, partie offensee, domicile choisi aupres 
                          de l'avocat Mauro Fonzo corso Cavour 84 Foligno
 - Avocat Mauro Fonzo corso Cavour 84 Foligno
 - Procureur de la Republique Dr. Petroselli
 et communication au Procureur General aupres de la Cour 
                          d'Appel
 
 Envoie a' la greffe pour les accomplissements de competence.
 Viterbo, 
                          le 16/11/2005.Le Juge pour les Enquetes preliminaires
 Dr. Gaetano Mautone
 timbre et signature non lisibles
 
 =====================================
 
 CABINET LEGAL FONZO
 Avocat Mauro Fonzo
 DEFENSEUR EN CASSATION
 DR. LORETTA DE TONA
 
  
                          Tribunal de ViterboCabinet du Juge pour
 les enquetes preliminaires
 Loc. Riello - 01100
 Viterbo
 
 
 Objet: avis de fixation d'audience prot. 3724/2004 RG 
                          GIP
 
 En date 1/12/2005 a' ce bureau a' ete' notifie' un decret 
                          de
 fixation d'audience pour le procede' en objet portant 
                          une date de
 toute evidence erronee.
 C'est pour cela que je formule la presente pour inviter 
                          le
 Bureau dont a' l'adresse, en nom et pour compte de la 
                          Partie
 offensee M. Luigi Cascioli, a' bien vouloir nous communiquer 
                          la
 date correcte de l'audience dans les termes pour pouvoir 
                          exercer
 les droits dus a' notre assiste'.
 Avec observance,
 
 Avocat Mauro Fonzo
  
                          Ci-joint la copie de l'avis.
 A' la suite de l'erreur commise par la greff
 |