L'athéisme attaque le christianisme avec une dénonciation contre Jésus et l'église catholique laquelle a défendu une imposture basée sur de faux documents, tels que la Bible et les Evangiles, avec la violence de l'Inquisition et le plagiat obtenu avec satan, les exorcismes et autres superstitions.

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Procès

 

A LA PROCURATION DE LA REPUBLIQUE AUPRES DU TRIBUNAL

DE VITERBE.

Le soussigné Luigi Cascioli, résident à Roccalvecce (Viterbe) Italie,
via delle Province n. 45/b,

EXPOSE CE QUI SUIT

Le soussigné, après de longues et approfondies études consistant aussi
(et pas seulement) en une exégèse textuelle de l’Ancien Testament, est
arrivé à la conclusion que, beaucoup des faits présentés comme vrais et
historiques par les soi-disantes « Saintes Ecritures » sont en réalité
des faux, premier parmi tous l’Historicisme de la figure de
Jésus-Christ, en grande partie empruntée sur celle de Jean de Gamala,
fils de Judas et descendant de la stirpe des Asmonéens.

Les motivations qui ont conduit l’exposant à telle conclusion sont en
détail exposées dans le livre que l’on allègue au présent exposé, duquel

ils constituent partie essentielle et intégrante.

Avec le présent exposé on ne veut pas contester la liberté des Chrétiens
à professer la propre foi, ratifiée par l’article 19 de la Constitution,
mais on veut stigmatiser l’abus que l’Eglise Catholique commet, en se
servant du propre prestige, pour inculquer en tant que faits réels et
historiques, celles qui ne sont rien d’autre que des inventions.

/Un clair exemple de tel abus a été commis par Don Enrico Righi (curé de
Bagnoregio) lorsqu’il a déclaré, sur le bulletin de la paroisse de S.
Bonaventura de Bagnoregio n° 245 mars-avril 2002, que Jésus-Christ
représente une figure historique en affirmant faussement qu’il était
fils de Joseph et de Marie (personnages, eux aussi, immaginaires et donc
historiquement inexistants), né à Bethléem, et qu’il avait ensuite vécu
à Nazareth. Que la figure de Jésus-Christ ait été entièrement empruntée
sur celle de Jean de Gamala, fils de Judas, nommé aussi Galiléen, est
fait sûr et démontré par une infinité de preuves qui rend impossible ne
pas croire aux falsifications faites par les rédacteurs de l’Evangile.
Il suffit de penser à celle concernant la transformation de l’appellatif
Naziré, nom avec lequel on appelait Jean de Gamala, en Nazaréen donné a
Jésus, en tant qu’habitant de Nazareth, pour démontrer la substitution
de personne./

D’un point de vue pénaliste, de telles falsifications historiques
peuvent intégrer les cas en question de deux délits : l’abus de la
crédulité populaire et la substitution de personne (dans le cas de
Jésus-Christ).

Aux termes de l’art. 661 C.P., on a abus de la crédulité populaire
lorsque quelqu’un, par le moyen d’impostures, induit en erreur une
multitude de personnes, dans le cas spécifique, l’Eglise Catholique (et
pour elle ses ministres du culte comme Righi, dans ce cas), en donnant
pour certains les faits historiquement inexistants (donc en présentant
comme vrais et réellement advenus des faits inventés en fonction de la
doctrine religieuse ), trompe toutes les personnes qui entrent en
contact avec l’enseignement de cette religion en les induisant à croire
en elle sur la base non pas d’argumentations purement théologiques
(complètement licites et admissibles), mais sur la base d’une
représentation trompeuse des faits. Le crime est de nature
contraventionnelle, c’est pour cela que l’élément psychologique de la
faute est suffisant, ce qui est certainement vérifiable dans tous les
ministres du culte catholique (donc même de Don Enrico Righi), puisqu’on
ne peut croire que des personnes instruites et qui -pour vocation et
pour métier- étudient continuellement la Bible et les Evangiles ne se
sont pas aperçues des nombreuses et répétées faussetés (même grossières) c
ontenues dans de tels écrits.

En ce qui concerne le délit de substitution de personne, on le trouve
quand un sujet, pour en tirer un avantage, induit d’autres en erreur en
attribuant, à soi-même ou à d’autres, un faux nom.

Dans le cas en examen, le livre (auquel je renvoie pour de plus
complètes explications) démontre que Jésus-Christ n’a jamais existé et
que, sous ce nom, se cache un certain Jean de Gamala. Donc, les
ministres de l’Eglise Catholique (comme Don Righi) qui font du
prosélytisme /(donc ils tirent avantage de l’augmentation du nombre des
fidèles qui accroit les introïts soit des offrandes directes des fidèles
que de celles du 8 pour mille uni à la déclaration des revenus)/,
induisent en erreur, sur la base de telles faussetés, ceux qui reçoivent
le message et, donc, commettent le délit prévu et puni par l’art. 494 du
code pénal.

Entre autre, afin d’intégrer le délit dont nous parlons « ce n’est pas
nécessaire que le but que s’était proposé l’agent soit en soi-même
illicite ou de nature patrimoniale, pouvant-il être licite et non
patrimonial » (Cass. Section V 9.02.1973 n. 164 ; conforme Cass. Section V 17.02.1967 n. 340).

L’élément subjectif requis est le dol spécifique, qui subsiste dans tous
ces sujets qui sont conscients de telles faussetés, mais qui ne se font
aucun scrupule de continuer à les divulguer, comme fait Don Righi.

La responsabilité du Souverain Pontife peut être seulement morale, vu
son immunité aux termes de l’Art. 3-I comma du Code Pénal, alors que
pour tous les autres ministres du culte catholique peut s’annoncer la
résponsabilité de nature pénale.

La continuelle présentation et divulgation d’évènements faux faits
passer pour vrais lèse aussi la tranquillité morale et la sérénité de
l’instant, avec conséquent dommage causé par l’emotional distress,
duquel on demandera l’indemnisation du dommage dans les sièges
opportuns, par le moyen d’une constitution de partie civile, qu’on
réserve dès maintenant.

Le soussigné, à disposition de l’Autorité Judiciaire pour fournir toute
explication, se réserve d’intégrer tout ce qui a été exposé et demande
expressément d’être écouté à propos des faits ci-dessus cités.

Tout cela dit et considéré, le soussigné Luigi Cascioli présente formelle

DENONCIATION-QUERELLE

A Don Enrico Righi, curé de Bagnoregio (Viterbe, Italie), résident à
Bagnoregio, via Matteotti n°45, et à tous les ministres de l’Eglise
Catholique, pour le délit p. et p. des art. 494 et 661 C.P., ainsi que
pour tout autre crime que V.S. voudra avertir dans le comportement
décrit ci–dessus.

Avec réserve de constitution de partie civile dans les manières et les
temps établis par la loi, je demande, ex art. 408 C.P.P., d’être informé
en cas de classement aux archives de la présente querelle.

On dépose le livre cité /« La Fable de Christ » et le journal
paroissial/ comme meilleure confirmation de ce qui à été ci-dessus exposé.

Meilleures salutations,

LUIGI CASCIOLI

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INSTANCE ET EXPOSE

Cher Procureur,

Le soussigné Luigi Cascioli , résidant à Roccalvecce (Viterbo). Viale (avenue) delle Provincie n° 45 /b, le 13.9.2002. a présenté une dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi (curé de Bagnoregio) pour les délits inscrits aux articles 661 et 494 du C.P., car Don Righi présente comme figure historique Jésus Christ, alors que (selon des études philologiques approfondies et des exégèses textuelles conduites par le même représentant sur les Evangiles et sur la littérature patristique et sur l'historiographie du Ier et du IIème s. ap. J.C.) Jésus Christ n'est pas un personnage historique et de ce fait sa figure fut empruntée et modelée sur le modèle d'un certain Jean de Gamala, pour preuve, le dénonciateur joint une copie du bulletin paroissiale de l'Eglise de St Bonaventura de Bagnoregio (signé par Don Enrico Righi) et son propre livre « La fable du Christ » pour démonstration de la présupposée logique des délits (non historicité de la figure de Jésus Christ et substitution de la figure de Jean de Gamala avec celle de Jésus Christ).

Ensuite, le soussigné présentait un mémoire complémentaire, rappelant la subsistance de l'aggravante inscrite à l'article 61 n. 9 du c.p. et joignant d'autres éléments comme supports.

Par la suite, le parti offensé demandait au Ministère Public de procéder à un incident probatoire, prévu à l'article 394 du c.p.p., demandant à un ou plusieurs experts le devoir d'accepter l'historicité au moins de la figure de Jésus Christ ; cependant, l'accusé resta inerte. Avec un acte notifié le 12.5.2003, le Ministère Public demandait le classement de la notizia criminis , retenant la procédure contre inconnus ( ! ), avec comme motivation « les demandes d'investigations sont formellement inadmissibles et quand à l'objet … la dénonciation est manifestement non fondée et on ne peut relever des hypothèses de délit. » Contre une telle demande, le soussigné présentait une opposition rituelle et au moment opportun, en déduisant :

1) que la procédure ne pouvait pas être répertoriée « contre inconnus » puisque dans la dénonciation comme dans les actes successifs il était toujours convenu Don Enrico Righi comme responsable des faits intégrants du délit dénoncé et qu'il avait produit aux actes le bulletin paroissiale et les avait signés.

2) que la disposition avait été répertoriée seulement relativement à la contravention de l'article 661 du C.P. et pas encore au plus grave délit de l'article 494 du C.P.

3) qu'on ne pouvait déclarer l'évident manque de fondement de la notice de délit, puisque – une fois démontré le préposé logique (non historicité de la figure de Jésus Christ et son modelage sur la figure de Jean de Gamala)- subsistent bien les délits exposés en dénonciation, comme le démontrait également une analyse de jurisprudence sur ce point.

4) que le rejet de la demande d'incident probatoire était tout à fait inadmissible, puisque substantiellement sans motif, et non fondée puisque l'accomplissement de l'expertise requise aurait comporté une suspension du débat supérieure à 60 jours et ainsi elle consentait à l'exécuter dans la phase des investigations, comme prévu à l'art. 392 alinéa II du code de Procédure Pénale. On ne pouvait non plus soutenir la preuve de l'historicité de Jésus Christ. Le soussigné, pourtant, s'opposait au classement et demandait que le GIP ordonne au Ministère public de formuler directement l'inculpation ou bien de mener les activités d'instruction requises, inscrivant Don Enrico Righi dans le registre des enquêtes pour la présumée commission des délits inscrits aux articles 494 et 661 du Code Pénale. Le GIP du tribunal de Viterbo, à la résiliation de la réserve assumée, rejetait l'opposition et prescrivait le classement de la procédure à charge d'inconnus , relevant que : 1) l'opposition aurait été inadmissible « puisque privée de la spécifique indication de l'objet des enquêtes supplétives et des relatifs éléments de preuve caractérisés par des nécessaires conditions de pertinence et d'importance » ; 2) que le problème de l'historicité de Jésus Christ « se prête mal à être abordée scientifiquement dans une salle de tribunal », 3) que « aussi à vouloir considérer les inculpations inscrites aux art. 494 et 661 du C.P. hypothèses émises par Cascioli, doit se reconnaître comme le premier cas particulier de délit qui présuppose l'obtention d'un avantage, alors que pour intégrer la seconde il faut l'élément perturbant de l'imposture, ou bien d'un habile artifice apte à déterminer un abus de la crédulité populaire avec conséquence perturbation de l'ordre publique, éléments pas tous retrouvables dans le cas en examen » : Rien n'était dit en ce qui concerne l'ouverture due la procédure à charge des « inconnus » et rien sur Don Enrico Righi et rien non plus sur l'évaluation du seul délit moins grave effectué par le Ministère Public.

Encore, en date du 9.03.2004 celui qui écrit devait ainsi présenter, au Parquet de la République auprès du Tribunal de Viterbo la seconde dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi (curé de Bagnoregio) demandant que le nom de la personne reconnue comme auteur suspect du délit (c'est à dire Don Enrico Righi) fut inscrit dans le registre des notices de délit, comme décrété avec autorité par la Cass. Sez. 119.5.1998 n° 1840, sur la base de la disposition de l'art. 335 alinéa I du Code de droit Pénal, dans lequel est prévu que « le ministère public inscrit immédiatement, dans le registre approprié conservé par le bureau, chaque notice de délit qui lui arrive ou qu'il a acquis de sa propre initiative mais encore, simultanément ou du moment dont il résulte, le nom de la personne à laquelle le même délit est attribué ». L'attribution formelle du crime à une personne contenue dans la notice du délit, détermine, en fait, l'obligation d'inscription de la même dans le registre relatif , selon Cass. Sez. I 26.6.1996 n° 4384 et la nécessité des approfondissements d'instruction.

Tout ce qui a été déclaré ne paraît pas que la recherche de la vérité qui est un apanage de l'organisme judiciaire consente à opérer l'évidente distorsion des faits qui a été exécutée faisant résulter la procédure à charge d'inconnus à la place de la personne accusée. Un tel comportement du Doct. Renzo Petroselli, Substitut du Procureur de la République auprès du tribunal de Viterbo, apparaît à qui écrit, ne pas se montrer comme un acte qui puisse manifester le libre consentement de celui qui l'émet, mais pourrait plutôt, hypothétiquement, être finalisé à la faveur illicite ou au désavantage du parti en cause ou du tiers (en … ce qui regarde l'influente Eglise Catholique, si pourtant il faut respecter dans le milieu proprement de la confession, ça apparaît inacceptable dans le lieu en question ; du système étatique propre et de l'exercice de la souveraineté : ex art. 7 Cost : !)

On demande pourtant avec confiance à la S.V . d'accepter le manque d'indications de Don Enrico Righi lequel auteur suspect du délit de la procédure n° 4998/2002R.G.Ign. constitue une précise violation des droits de norme pénale, ou de règles déontologiques, en raison du devoir d'attention et de correction qui incombe aux Juges du bureau du M.P. et si, dans la circonstance concrète, seraient respectés tous les droits des partis impliqués comme par exemple si ont été communiqué à l'investigateur les accusations les rendant flous dans des formes et des termes rituels ; comme aussi celui du représentant de ne pas répéter, avec aggravation des frais, ses demandes. Tout ceci dans le but d'engager des actions pénales s'ils se ravisaient des délits dans les comportements objets des censures floues du représentant. On fait demande d'être averti de toutes les dispositions qui seront adoptées et de revoir l'avis d'un éventuel classement.

Viterbo, 24 Mars 2004. Luigi Cascioli.

Comme résultat de cet exposé contre le Substitut du Procureur de la République, le Doct. Renzo Petroselli, la partie, le match s'est transféré au tribunal de Perugia duquel dépend le Tribunal de Viterbo. Nous restons en attente de la réponse du Procureur en chef du Tribunal de Perugia pour décider des suites à donner.

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Réponse au classement prescrit par le G.I.P. doct. Gaetano Mautone



Av. Cass . Mauro FONZO

Corso Cavour, 84 – Tel. 0742/340038

0634 – FOLIGNO ( PG).

AU PARQUET DE LA REPUBLIQUE

SAISI PAR LE TRIBUNAL DE VITERBO

Monsieur Luigi Cascioli , résidant à Roccalvecce (Viterbo), Via delle province 45/B et ayant élu électivement domicile aux fins du présent rapport-plainte, à Foligno (PG), Corso Cavour n° 84, au cabinet de travail de l'avocat FONZO Mauro, défenseur de confiance, en vertu de la nomination du présent acte ci-dessous

DECLARE QUE

En cette date du 13.9.2002 Monsieur Luigi Cascioli a présenté une dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi (Curé de Bagnoregio) pour les délits inscrits aux articles 661 et 494 du code pénale, car Don Righi présente comme figure historique Jésus Christ, alors que (selon des études philologiques approfondies et des exégèses textuelles conduites par Monsieur Cascioli en personne sur les Evangiles et sur la littérature patristique et sur l'historiographie du Ier et du IIème siècle ap. J.C.) Jésus Christ n'est pas un personnage historique et de ce fait sa figure fut changée et modelée sur le modèle d'un dénommé Jean de Gamala, pour le prouver, le dénonciateur joint une copie du bulletin paroissiale de l'Eglise de St Bonaventura de Bagnoregio (signé par Don Enrico Righi) et son propre livre « La fable du Christ » pour démonstration de la présupposée logique des délits (non-historicité de la figure de Jésus Christ et substitution de la figure de Jean de Gamala avec celle du Christ).

Par la suite, Monsieur Cascioli présentait un mémoire complémentaire, rappelant la subsistance de l'aggravante de l'art. 61 n° 9 du c.p. et joignat un autre matériel comme support.

Puis, le parti offensé demandait au Ministère Publique de procéder à un incident probatoire, aux termes de l'art. 394 C .P.P., demandant à un ou plusieurs experts le devoir d'accepter au moins l'historicité de la figure de Jésus Christ ; Cependant, l'Accusé resta inerte. Avec un acte notifié le 15/5/2003, le Publique Ministère demandait le classement de la notizia criminis , retenant la procédure contre inconnus ( ! ), avec comme motivation « les demandes d'investigations sont formellement inadmissibles et quand à l'objet … la dénonciation est manifestement non fondée et on ne peut relever des hypothèses de délit. » Contre une telle demande, Monsieur Cascioli présentait une opposition rituelle et au moment opportun, en déduisant : 1) que la procédure ne pouvait pas être répertoriée « contre inconnus » puisque dans la dénonciation comme dans les actes successifs était toujours convenu Don Enrico Righi comme responsable des faits intégrants du délit dénoncés et qu'il avait produit le bulletin paroissiale de et les avait signés.

2) que la disposition avait été répertoriée seulement relativement à la contravention de l'article 661 du C.P. et pas encore le plus grave de délit de l'article 494 du C.P.

3) qu'on ne pouvait déclarer l'évident manque de fondement de la notice de délit, puisque – une fois démontré le préposé logique (non historicité de la figure de Jésus Christ et son modelage sur la figure de Jean de Gamala)- subsistent bien les délits exposés en dénonciation, comme le démontrait également une analyse de jurisprudence sur ce point.

4) que le rejet de la demande d'incident probatoire était tout à fait inadmissible, puisque substantiellement sans motif, et non fondée puisque l'accomplissement de l'expertise requise aurait comporté une suspension du débat supérieure à 60 jours et ainsi elle consentait à l'exécuter dans la phase des investigations, comme prévu à l'art. 392 II alinéa du code de Procédure Pénale. On ne pouvait non plus soutenir la preuve de l'historicité du Christ. Monsieur Cascioli s'opposait au classement et demandait que le GIP ordonne au Ministère Public de formuler directement l'inculpation ou bien de mener les activités d'instruction requises, inscrivant Don Enrico Righi dans le registre des enquêtes pour la présumée commission des délits inscrits aux articles 494 et 661 du code pénale. Le GIP du tribunal de Viterbo, à la résiliation de la réserve assumée, rejetait l'opposition et prescrivait le classement de la procédure à charge d'inconnus , relevant que : 1) l'opposition aurait été inadmissible « puisque privée de la spécifique indication de l'objet des enquêtes supplétives et des relatifs éléments de preuve caractérisés par des nécessaires conditions de pertinence et d'importance » ; 2) que le problème de l'historicité de Jésus Christ « se prête mal à être abordée scientifiquement dans une salle de tribunal », 3) que « aussi à vouloir considérer les inculpations inscrites aux art. 494 et 661 du C.P. émettant l'hypothèse que Cascioli, doit se reconnaître comme le premier cas particulier de délit présuppose l'obtention d'un avantage, alors que pour intégrer la seconde il faut l'élément perturbant de l'ordre public, éléments pas tous retrouvables dans le cas en examen » : Rien n'était dit en ce qui concerne l'ouverture due la procédure à charge des « inconnus » et rien sur Don Enrico Righi et rien non plus sur l'évaluation du seul délit moins grave effectué par le Ministère Public.

Tout ceci déclare Luigi Cascioli comme représenté ci-dessus et défendu,

IL EXPOSE COMME IL SUIT

La contestation de l'historicité de Jésus Christ n'est pas une nouveauté introduite par Monsieur Cascioli ( dont l'étude est seulement la plus récente et celle dans laquelle est le mieux décrit la reconstruction du « personnage Jésus Christ » sur la base de Jean de Gamala), mais elle s'inscrit dans le sillon d'une tradition d'études et de réfutations autorisées qui remontent déjà aux premiers siècles de l'ère chrétienne. Les thèses selon lesquelles Jésus n'aurait absolument pas vécu sont proposées dans de nombreux livres. Parmi ceux notoires également dans le milieu académique catholique on peut citer G.A. Wells. Le dit auteur qui est signalé par les plus éminents biblistes retient que toutes les vicissitudes de Jésus, ses miracles, sa doctrine et sa crucifixion sous Pons Pilate, sont inventées par les chrétiens seulement après 70 ap. J.C.

Précédemment, selon Wells, Jésus avait été annoncé comme la sagesse incarnée qu'en circonstances ignotes il avait été crucifié pour les péchés des hommes et était ressuscité. Cette thèse se base sur trois lignes argumentatives : a) La documentation extra chrétienne sur l'existence de Jésus est trop tardive pour qu'elle puisse se vanter d'une une probante force indépendante de la tradition chrétienne ( quand à Flavio Giuseppe, Wells retient que aucune des mentions de Jésus n'est authentique ). b ) Les Evangiles ne sont pas des sources sur la base desquelles on peut reconstruire des historiques dignes de foi, parce qu'ils ont été produits trop tard : après l'an 70. Ceci dans le cas d'éventuelles traditions palestiniennes signifierait une fracture radicale à l'intérieur de la tradition. En outre sur de vastes traits les évangiles sont dépendants les uns des autres et pour cela il n'est pas facile de vérifier une attestation multiple des vicissitudes de l'histoire de Jésus. Les évangiles sont des textes dans une large mesure légendaires et dans lesquels s'interpénètrent des conceptions théologiques de leurs auteurs , qui n'étaient pas hébreux et qui écrivèrent hors de la Palestine. c ) Les lettres de Saint Paul sont en effet des témoignages chrétiens archaïques, qui pourtant se taisent sur la vie de Jésus, en particulier sur ses miracles, sa doctrine et les circonstances précises de sa mort, Wells en conclue que l'auteur de ceux -ci ne savait rien à ce sujet .) Assez souvent les lettres paolines désignèrent Jésus Christ comme Rédempteur qui préexistant et incarné, qui à une époque imprécise a été crucifié comme juste souffrance pour les pêchés de son peuple. Pour Wells (exégèse catholique) ceci est un développement du mythe de la Sagesse préexistante qui a choisi d'habiter en Israël ( = s'est incarnée), dont l'affirmation sur la mort honteuse du juste ( le représentant de la Sagesse Sap. 2, 22), enrichie avec des passages prophétiques ( les chants de l'esclave de YHWH. Zc 12 , 10) furent interprétés en référence à une crucifixion. Ces mythes annonceront Pierre, Paul et les autres apôtres sur la base des apparitions ( Les Cor. 15, 22 ss), dans lesquelles le ressuscité s'était fait connaître à eux.

Le bulletin paroissial signé par Don Enrico Righi, que le représentant invoque de nouveau, malgré tout, contient des références aux machinations, aux offenses et aux terribles tourments subis par l'homme Jésus. Les références faites sont exposées dans le bulletin sans le remède de la critique historique qui ainsi induisent, qui sont des idéaux à induire à l'extrémisme religieux. Dans le même milieu théologique contemporain, il y a un fait que Don Enrico Righi ne peut ignorer , qui se reflète d'une façon très critique au problème de l'historicité de Jésus de Nazareth. Un exemple pour tous se trouve dans le travail du plus éminent chercheur biblique contemporain John P. Mayeur qui a écrit : « Un Ebreo Marginale » - Ripensare il Gesù storico – Le radici del problema e della persona. Cette œuvre a été imprimée avec l'éditeur de Mons. Patrick j. Sheridan , Vic. Gen. New York le 25 juin 2001 avec comme titre original : A Marginal Jew, Rethinking the Historical Jesus ; et il est, en Italie, publié depuis 2001 avec réédition en 2002 de la maison d'édition QUERINIANA de Brescia pour la collana BTC (BIBLIOTECA DI TEOLOGIA CONTEMPORANEA ) qui est répertoriée à l'adresse internet www.queriniana.it - Par conséquent, un prêtre, curé de Bagnoregio doit bien savoir qu'il existe un problème qui ne peut être tenu sous silence par rapport à la personne du Jésus historique. Si avec tout cela, et contrairement à tout ce qu'il sait, il tait ceci et ainsi l'emphatise comme dans le document ci-joint qu'il a fait, le scandale sur les souffrances de Jésus il ingéniera le lecteur au fanatisme avec perturbation de l'ordre public. Don Enrico Righi ( curé de Bagnoregio) a soutenu, dans le bulletin de la paroisse de S. Bonaventura in Bagnoregio n° 245 mars avril 2002, la figure historique de Jésus affirmant faussement qu'il est lui fils de Jésus et de Marie (personnages imaginaires et historiquement inexistants), né à Bethléem et grandit à Nazareth. Que la figure de Jésus soit construite entièrement sur celle d'un certain Jean de Gamala, fils de Judas dit le Galiléen, résulte d'une manière irréfutable d'une si grande quantité de preuves à ôter tout doute des falsifications opérées par les rédacteurs des évangiles. Il suffirait seulement de regarder la transformation de l'appellation Nazireo , avec laquelle était appelé Jean de Gamala, et celle de Nazareno donnée à Jésus, lequel habitant de Nazaret, pour démontrer de la manière la plus absolue la substitution de personne. Pour ces motifs Don Enrico Righi, curé de Bagnoregio, devra être inscrit dans les registres des investigations . « le nom de la personne reconnue comme auteur suspect du délit est Don Enrico Righi et pour cela il devra être inscrit dans le registre des notices de délit, comme décrété avec autorité par la Cass. Sez . 119.5.1998 n° 1840, sur la base de la disposition de l'art. 335 alinéa II du code de droit pénal, dans lequel est prévu que « Le Ministère Public inscrit immédiatement , dans le registre approprié conservé par le bureau, chaque notice de délit qui lui arrive ou qu'il a acquis de sa propre initiative mais encore, simultanément, ou du moment dont il résulte, le nom de la personne à laquelle le même délit est attribué ». L'attribution formelle des crimes à une personne contenue dans la notice du délit, détermine, en fait, l'obligation d'inscription de la même dans le registre relatif, selon Cass. Sez .I 26.6 1996 n° 4384 et la nécessité des approfondissements d'instruction. Sur ce point il est nécessaire que la question soit approfondie en cour juridique selon la loi de notre Constitution qui impose comme les juges doivent se soumettre seulement à la loi (art. 101) et non aux conventions religieuses ( di chicchessia ) et que l'action pénale est obligatoire (art. 112). Là on retient la manière controversée et on doit faire recours à l'instrument de l'expertise noté à l'art. 220 du C.P.P., qui sert à porter à la connaissance du juge tout le savoir technique qui n'est pas en sa possession.

Par conséquent on demande déjà en cette cour l'exécution d'une thèse d'expertise pour déterminer comment, en l'état des actuelles résultantes de la critique historique et déjà également en milieu religieux, le problème d'une invention de la personne « du Jésus historique » est actuel. L'épreuve est de s'assumer dans les confrontations de Don Enrico Righi et c'est cela de déterminer si on a la volonté et la conscience de générer le fanatisme au sujet de la nature historique de Jésus le Christ. La subsistance d'une contrevérité de base et la conscience au sujet de cette contrevérité doit être évaluée aussi sur le fait que se produit récemment ces excès de fanatisme religieux qui trouvent dans le soulignage truculent, également cinématographique, de la passion du Christ, résonance et possible perturbation de la cohabitation civile. Dans une telle situation il incombe aux ministres du culte la responsabilité de ne pas occulter le problème de la personne Jésus alors qu'il est connu par eux mais caché. Un tel approfondissement parvient au moment investigateur et nécessaire que Don Enrico Righi soit inscrit dans le registre des investigations. Successivement à l'investigation sur la conscience dans le ministère du culte indiqué au sujet du manque de fondement de la figure historique de Jésus et donc sur le caractère volontaire de perturbation qui s'obtient dans les âmes des destinataires de ses communications écrites et orales avec la présentation de la passion du Christ, cela pourra donner lieu à une expertise ( à confier à un ou plusieurs experts en histoire des religions et/ou en histoire romaine et du Moyen-Orient relatives à la période du Ier s. av. J.C.-II s. ap. J.C., ainsi qu'en épigraphie et paléographie dans les langues hébraïques, araméennes, grecque et latine) qui devra examiner en détail les sources originaires et contemporaines à l'époque de la présumée vie de Jésus le Christ et, si possible, dans leur langue de rédaction originaire et pas en traduction qui pourraient trahir la signification primitive des paroles utilisée, vérifiant l'existence d'éventuelles extrapolations et entrecroisant les résultats documentés avec les sources épigraphiques, matérielles, monumentales, topographiques, paléographiques, etc. … L'avantage du fait qu'on continue à taire les évidences de la critique historique également acquise dans la théologie contemporaine réside dans le majeur prosélytisme déterminé par l'imposture, prosélytisme qui détermine une majeure quantité d'offre et un majeur quota de 8 pour mille, donc des avantages directs et indirects au coût connu pour perturber l'ordre public qui obtient l'indiction au fanatisme. L'artifice réside dans le fait de présenter comme historique un personnage mythique et fruit de l'invention (Jésus le Christ), l'abus de la crédulité populaire qui a avec l'enseignement répété de tels mensonges et réside dans la perturbation du droit de chacun à croire et à ne pas croire, au moyen de telles représentations trompeuses des faits (accorder l'historicité à un personnage inventé attribue plus de force aux idées attribuées à celles-ci). Sur ce point, la jurisprudence a retenu qu'il y avait dérangement de l'ordre public en cas de préjudices du droit à une information correcte et responsable apte à former une libre conviction propre, à charge d'une série indéterminée de personnes (Cass. Sez. II 1/4/1966). Pourtant, on demande que le Ministère Public consentît d'inscrire, avec chaque effet en conséquence de la loi, Don Enrico Righi dans le registre des investigations, pour les délits supposés ci-dessus.

Conformément.

Viterbo, 9 mars 2004 Av. Cass . Mauro FONZO

Luigi Cascioli Corso Cavour, 84 – Tel. 0742 340038

• FOLIGNO – Perugia

PROCURATION SPECIALE

Je déclare comme mon défenseur dans la présente procédure l'av. Mauro Fonzo, auquel je confère tous les plus amples pouvoirs de loi, y compris la présente éxposé-dénonciation et de rédiger des mémoires complémentaires, demander un incident probatoire ex art. 394 du c.p.p. et avec réserve de constitution de parti civile. Avec l'expresse requête d'être avisé ex. art. 408 c.p.p. dans le cas de classement de la notice criminis.

Ci-joint la copie du bulletin Mars-Avril 2002 signé par Don Enrico Righi.

Ci-joint déposé le livre « La fable de Dieu » et certificat de l'état civil de Don Enrico Righi.

A élu domicile en son bureau de Foligno, corso Cavour n°84.

Viterbo, 9 mars 2004

Signé Luigi Cascioli

Signature authentique Av. Mauro Fonzo


Corso Cavour, 84 – Tel : 0742340038

06034 FOLIGNO (PG).

PROCURATION DE LA REPUBLIQUE

c/o TRIBUNAL DE VITERBO

DEPOSE EN CHANCELLERIE

LE 09 - 03 – 04

Le directeur de chancellerie

(Allegrini Luciano)

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La fuite récidive de l' Eglise confirme la non existence de Jésus dit le Christ

REPONSE DE LUIGI CASCIOLI A' L'ARCHIVAGE

Jamais il n'a été vérifié dans l'histoire de la législation italienne et mondiale que fût déclaré inconnu un obstiné parfaitement confirmé en dénonciation avec nom, prénom, adresse et profession.

Ce cas, unique au monde, à été vérifié au Tribunal de Viterbo à propos de la plainte portée par Luigi Cascioli contre Don Enrico Rhigi, né à Bagnoregio (VT) le 17/02/1930 habitant 45, via G. Matteotti et y résidant depuis sa naissance (voir le certificat ci-dessus reporté).

Cette incroyable déformation de la vérité, exécuté par le Ministère Public Doct. Renzo Petroselli (voir demande de classement du …) et confirmé par le Juge Gaetano Mautone le …….. , ne peut être que le résultat d'une imposition exercée par l'Eglise (corruptrice externe) sur deux magistrats pour éviter un procès qui se serait inexorablement conclu avec la démonstration de la non existence historique du Christ.

L'Eglise, n'ayant pas d'argumentation valide pour soutenir l'existence de Jésus, existence qui jusqu'à maintenant a établi avec plagia, le chantage et la violence, ne pouvant se sauver à travers une action de répression directe contre Luigi Cascioli, dont le tranchement de la tête, la pendaison ou le bûcher, a cherché à escamoter le procès derrière une fuite que les juges ont soutenu la déclarant « Inconnue ».

Le grand pouvoir économique et idéologique des ambitions d'une domination universelle qui tient le monde en soumission, a démontré être en réalité tellement faible et précaire à la première attaque reçue de manière claire et décidée, elle en résulte, avec sa fugue, franchement ridicule.

Si le Christ a vraiment existé, pourquoi l'Eglise n'est-elle pas venue le démontrer dans un tribunal ? Quelle meilleure occasion pour affirmer, une fois pour toutes, l'existence de Jésus à tous ceux qui la nient ?

Si les ministres de l'Eglise sont vraiment convaincus de l'incarnation du Christ comme ils démontrent l'être dans les prêches et dans les (manca una parola nel testo in italiano ?) , s'ils sont déclarés inconnus quand il leur est demandé de soutenir dans un tribunal que Jésus, fils de Marie et Joseph, est né à Bethlehem, a vécu à Nazareth et est mort sur la croix sous Ponce Pilate ? Pourquoi sont-ils restés fuyants devant l'accusation d'être des partisans du faux ? Il est possible que parmi tous les théologiens qui gonflent vos rangs, des écrivains et historiens catholiques, des exégètes et prêtres exorcistes, vous n'ayez pas trouvé un capable de contester les accusations qu'un petit homme, lequel est Luigi Cascioli, vous a retourné avec sa dénonciation-plainte ?

Qu'est ce qu'on peut déduire d'autre du fait que vous n'avez pas réussi à trouver une preuve, une seule seulement, de l'existence du Christ parmi les innombrables traités de vos docteurs, parmi ces Pères de l'Eglise que vous citez quotidiennement pour soutenir vos vérités, si non que vous êtes parmi les premiers à ne pas croire à l'humanisation du héros sur lequel vous basez votre impérialisme ?

La foi que vous pourriez invoquer pour justifier votre imposture gardez-la dans vos églises, réservez-la à votre monde divin fait d'art abstrait et de chimères, puisque dans un tribunal terrien administré par un code pénal humain, qui exclue toute justification basée sur la superstition, la magie, les dogmes et les mystères, les vérités sont acceptées seulement derrière des preuves soutenues par la raison et le bon sens.

Dans la situation dans laquelle vous vous êtes mis, fuyant devant un procès humain, toute votre arrogance basée sur le divin, si c'est tellement vain d'être réduit à subire, sans possibilité de réaction, chaque insulte et accusation qui est retournée contre vous, de la plus petite à la plus grande y compris cet intouchable Souverain Pontife que aucun codifie qu'il soit divin ou humain ; comme aucune voiture blindée anti-projectiles, ne pourra désormais plus défendre de la bombe qui leur a été mise sous les fesses avec la dénonciation-plainte présentée au tribunal de Viterbo contre un de ses ministre le 21 nov 2002.

« Lâches, imposteurs, pédérastes, ladres, escrocs, faussaires, dupeurs, charlatans, bourreaux, usuriers, faccendieri , assassins, adeptes de massacres et de génocides, tortionnaires, traîtres, bâtards, incestueux, proxénètes, syphilitiques, empoisonneurs, mafieux, culatoni , sadiques, masochistes, violeurs, névrotiques, stigmatisés… » seront les épithètes que dorénavant on pourra librement crier contre vous qui avez imposè un Christ que vous même, avec votre fuite, avez demontrè et confirmè être historiquement inexistant.

Réduits comme vous êtes, avec votre déclaration fuyante à une bande de chacals fuyants, encore plus vils et plus plagiant, bientôt ils trouveront le courage de vous lancer toute la haine et la rancœur qui s'est accumulée en vingt siècles d'abus, de violence et de chantages subis par votre immoralité et votre obscurantisme.

Fuyez, continuez également à les déclarer inconnus , mais ce ne sera pas en retournant à l'anonymat que vous pourrez vous sauver. Votre heure est sonnée, Le Christ est mort et vous avec lui. Il ne vous reste qu'a disparaître profondément dans cet enfer que vous avez construit vous-même pour soutenir votre honteuse imposture.

Pour vous démontrer à quel point je ne vous crains pas, je veux réserver une appellation particulière à votre Saint Père , l'appelant « Barjiona » mais pas avec la signification de « fils de Giona » que vous avez voulu lui donner en le référant à son prédécesseur Pierre, mais avec celle qui exprime vraiment dans sa langue originaire araméenne « fuyant » exactement comme il a démontré être de déclarant « inconnu » par les bouches du Ministère Public du Doct. Renzo Petroselli et du Juge pour les investigations préliminaires le doct. Gaetano Mautone : « Jean-Paul II dit Barjiona ». (Voir sur le dossier PROCES le chapitre à ce propos « Les Apôtres du Jesus »).

Luigi Cascioli.

Note : A ceux qui m'ont dit que je peux être dénoncé pour ce que j'ai écrit, j'ai répondu ferme et décidé : « C'est ce que je veux être ! ».

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Réponse du Juge des Investigations Préliminaires à l'opposition de Luigi Cascioli.



TRIBUNAL DE VITERBO

BUREAU DU JUGE POUR LES INVESTIGATIONS PRELIMINAIRES

Le Juge pour les investigations préliminaires,

pourvoyant à l'opposition de la demande du classement de la procédure n°4998/2002 R.G. à charge des Inconnus avancée par Luigi Cascioli ;

à la lecture des actes de la procédure et à l'écoute des partis parus à la chambre du conseil ;

je déclare que l'opposition proposée par Luigi Cascioli résulte inadmissible, puisque prive de la spécifique indication d'objet des investigations supplétoires et des relatifs éléments de preuve caractérisés par les nécessaires conditions de pertinence et d'importance ( Cass. SS.UU. 14.4.96, Testa ) ;

retenu que, le mérite, de la présupposée logique d'où part le dénonciateur est la « certitude » du fondement de sa propre recherche historique sur la fausseté de la figure et de l'existence même du Christ, argument qui, par sa nature, à cause des séculaires disputes théologiques et historiques sur ce point, n'apparaît pas susceptible d'utiles approfondissements instruits en cour pénale et, d'une autre part, se prête mal à être affronté scientifiquement dans la salle d'un tribunal ;

que, du reste, à vouloir considérer également les charges des articles 494 et 661 c.p. supposées par Cascioli, doit se reconnaître comme le cas particulier de délit qui présuppose l'obtention d'avantages, tandis que pour intégrer la seconde il faut l'élément de l'imposture, ou bien d'un habile artifice apte à déterminer un abus de la crédulité populaire avec conséquence perturbation de l'ordre publique, tous ces éléments n'étant pas retrouvables dans ce cas en examen ;

qui, pour les considérations supérieures, est disposé au classement du contexte.

P.Q.M.

Vu les articles 409, 410 c.p.p.,

Il rejette l'opposition et prescrit le classement de la procédure à charge des inconnus, ordonnant la restitution des actes au P.M.

Envoyé à la Chancellerie pour exécution.

Viterbo, le 28.11.2003.

Dep. 28/11/03

Il G.I.P.

Doct. Gaetano Mautone.


Mise aux archives - audience 27/01/2006.
Annotations et commentaires de Luigi Cascioli.

La numération des paragraphes mise à côté des motifs allégués pour justifier la mise aux archives a été ajoutée afin de faciliter la compréhension du commentaire.

Puisque la mise aux archives a été écrite avec un langage juridique qui pourrait résulter, tout du moins en partie, de difficile compréhension, je reporterai les passages en question en en simplifiant la forme, peu à peu que je les soumettrai au commentaire.
En premier je fais remarquer la faute reportée dans la septième ligne où l’on écrit en tant que opposant le nom de Righi (!?!) à la place de Cascioli, faute laquelle, tout en étant suffisante pour faire annuler l'ordonnance, je préfère ignorer car elle représente pour moi, au cas où je le ferai, seulement un retard au déroulement de mon programme que j'entends mener à terme en m’adressant le plus tôt possible au Tribunal de Strasbourg.
Faite cette remarque, passons au commentaire de la mise aux archives qui se conclue avec « la menace d’une éventuelle accusation de calomnie envers le dénonçant ».

1° motif: Responsabilité de l'État

"Le Juge pour les enquêtes Préliminaires (Dr. Gaetano Mautone), lu les actes et entendu les parties en chambre de Conseil (référence à l'audience qui s'est tenue à portes fermées le 27 janvier 2006 durant laquelle ont parlé l'avocat Fonzo pour Cascioli Luigi et l'Avocat Bruno pour don Enrico Righi), en considérant que le seul responsable des crimes prévus par les articles 661 et 494 doit être considéré l'État en tant que P.A. (Publique Administration) car c’est à lui qu' appartient la tutelle de la foi et de l'ordre public, repousse l'opposition de Cascioli et par conséquence sa dénonciation contre don Enrico Righi."
Explication: puisque les articles 661 et 494 se réfèrent aux crimes commis contre l'ordre et la foi publique, et l'ordre et la foi publique sont confiées à l'État, au cas où ces articles n’étaient pas respectés par quelqu'un, celui qui doit être accusé pour leur transgression, ce n'est pas celui qui les a commis, mais l'État qui lui a permis de la commettre. Cela équivaut à dire pratiquement que la faute dérivante d'une escroquerie ne doit pas être attribuée à celui qui il la commet mais aux gendarmes qui n'ont pas empêché à l'escroc de la réaliser.

2° motif: Manque d’arguments supplémentaires.

"L'opposition proposée par Cascioli contre la mise aux archives relative à sa seconde dénonciation (référence à celle déposée le 23 mai 2003) manque d’arguments supplémentaires à ceux déjà exposés dans la première dénonciation du 13 septembre 2002 qui auraient du y être afin que le tribunal la puisse prendre en considération pour la soumettre à d’autres enquêtes."
À part le fait que la seconde dénonciation du 20 mai 2003 fut déposée par Cascioli car la première avait été tellement déformée qu’elle résultait méconnaissable à cause des falsifications graves effectuées par le P.M. Petroselli et par le juge Mautone, comme celles d'avoir déclaré "inconnu" l'accusé, tout en ayant fourni de lui le nom, le prénom, l'adresse et la profession, et d'avoir ignoré l'art. 494 qui avait été bien spécifié dans sa violation (voir la dénonciation du 13 septembre 2002 et relative mise aux archives du 27 mars 2003), on voudrait savoir à quelles enquêtes précédentes se réfère le Juge Mautone si lui-même affirme de ne jamais les avoir faites lorsque comme motivation pour repousser la dénonciation il écrit: "On remet aux archives parce que les enquêtes sont inadmissibles soit pour la forme que pour l'objet de la vérification."
Si les enquêtes avaient vraiment été effectuées, n'aurait-elle pas été plus que suffisante, pour procéder à la vérification sur l'historicité de Christ, la preuve, une parmi les nombreuses reportées dans la dénonciation, qui nous vient de l’extrait de "Antiquités Judaïques" de Joseph Flavius (..) duquel résulte que Simon Pierre et Jacques ne sont pas frères de Jésus, comme don Enrico déclare dans son Bulletin Paroissial, mais deux fils de Judas le Galiléen condamnés à la crucifixion par le procureur Cuspio Fado avec l'accusation de zélotes révolutionnaires?
Découvrir ensuite, comme conséquence de ces parentés, que Jésus, alias Jean de Gamala, était lui aussi fils de Judas le Galiléen, cela n'aurait pas été trop difficile si vraiment aurait été faite cette enquête que Cascioli vainement avait demandé par le moyen de l'incident probatoire.

3° motif: Affirmations discutables et controversées.

"L’ont doit considérer insignifiant, aux fins d'une enquête, une vérification sur l'existence historique de Christ car les résultats pourraient porter à des affirmations discutables et controversées non utiles à l'évaluation correcte des faits en examen."
Discutables s'il s'agissait d'un procès théologique tendant à démontrer une existence transcendantale, mais puisque la dénonciation se réfère à la non existence d'un homme, tel certain Jésus dit le Christ déclaré né, vécu et mort, les sujets traités seraient biensur controversés (comme d'ailleurs il y en a dans toutes les causes), mais non pas non jugeables puisqu’il s’agit d’une controverse qui ne se base pas sur des hypothèses abstraites et transcendantales, mais sur des preuves soutenues par une documentation tangible, contrôlable et donc compréhensible non pas seulement par un juge que l’on suppose soit formé professionnellement pour décider sur la réalité des faits, mais par quiconque d’autre qui, libre de tout conditionnement ou préjugé fidéiste, soit en possession d'un minimum d'intelligence et de bon sens.

4° motif: Être ou ne pas être?
Leçons de théologie du Tribunal de Viterbe.

"Un autre motif pour lequel on rejète la dénonciation de Cascioli vient du fait qu'Enrico Righi n’a pas affirmé dans le Bulletin Paroissial de mars-avril 2002 l’existence historique de Jésus, mais il a seulement soutenu son humanité, c'est-à-dire l'essence de l'homme."
Oui, vous avez bien lu! Il y est écrit vraiment ainsi: "Don Enrico Righi a soutenu l'humanité de Jésus, c'est-à-dire son essence d'homme, mais il n’en a pas affirmé l'existence historique."
Mais qu'est-ce que cela signifie, qu'est-ce que cela veut dire « il a soutenu l'humanité mais il n'a pas affirmé l'existence historique? ». Que l’on m'explique comme il soit possible de nier l'historicité de quelqu'un après en avoir confirmé l'existence humaine en reportant de lui le leiu de naissance, la paternité, la maternité, les fraternités et laprofession. Que l’on me fasse comprendre comme l’on puisse dire d'une personne, de la même personne, qu'elle a existé et en même temps déclarer qu'elle n'a pas existé.
Un absurde qui, repoussé par la raison, peut avoir été soutenu par un juge seulement derrière un conseil de l'Église laquelle, maîtresse comme elle est dans l'altération des vérités, a pensé se sauver de la dénonciation en séparant la figure de Christ en deux entités, celle religieuse, à laquelle, en tant qu’essence humaine, il est possible de traverser les murs (Gv. 20,19) même sans besoin de preuves, et celle historique, à laquelle il n'est pas permis d'entrer et sortir d'une pièce même pas au travers de la porte ou en sautant une fenêtre si l’on ne se porte pas derrière une documentation qui le confirme.
La première, celle fidéiste à laquelle il est permis de marcher sur les eaux et à la laquelle existence il faut croire pour une imposition dogmatique, a été reconnue existante, celle historique, qui doit par contre nager pour se tenir à la surface, a été repoussée pour pouvoir dévier celui qui aurait dû être un procès laïque, basé sur la raison et le bon sens, en un procès religieux dont les fondements théologiques auraient été la cause, avec leur caractère abstrait et leurs extravagances, des "affirmations discutables et controversées" non pas évaluables, que le juge Mautone invoque au N° 3 comme motif pour repousser la dénonciation.
L'application de ce stratagème de transformer un procès laïque en un religieux, le recours à la tromperie de faire résulter théologique un débat qui aurait être exclusivement historique, avait été prévu en étant trop facile comprendre que celle-ci aurait été la seule ancre de salut qu’auraient pu saisir soit les juges que l'Église; les premiers pour se libérer, même au coût de faire tomber dans le ridicule toute la justice italienne, d'une enquête qui aurait pu se conclure avec une sentence qui les faisait trembler, la seconde pour éviter sa fin.
« Ce procès ne doit pas se faire », a ordonné la "Corruptrice Eternelle", et tout est fini, comme il avait été établi qu'il finît, avec une mise aux archives dont les motivations, pretextueuses et arbitraires, repoussées par la raison et par le bon sens, ne peuvent qu'avoir donné à l'Église une victoire apparente et illusoire, c'est-à-dire une victoire de Phyrrus qui équivaut à une terrible défaite.
Que pouvait-on espérer de plus d'un tribunal italien et de la même Église du moment que pour repousser une dénonciation affirmant la non existence de Christ, ils sont arrivés à faire admettre par le même accusé, don Enrico, à lui même, la non existence historique de Christ?
Si tout ceci était arrivé en autres temps, de beaucoup plus que d'un crime de calomnie Cascioli aurait été accusé! Dans un tribunal de la Sainte Inquisition le mot "opiniâtreté" utilisée par le Juge Mautone aurait acquis le sens de "relapso", et l'hérétique aurait été traduit au bûcher en civière après lui avoir rompu les os pour lui arracher ensuite la langue avant de donner feu à une pile de bois précédemment trempée afin que son agonie puisse se prolonger de la manière la plus atroce et cléricale.

5° motif: Le bulletin paroissial est l'extériorisation d'un droit

Ce 5° motif n'est u'un panégyrique tendant à exalter et à confirmer légalement les fonctions sacerdotales.

6° motif: Explication des crimes hypothisés dans la dénonciation (artt. 494-661).

Le commentaire sur ces crimes, déjà fait et reporté sur « Commentaire à la demande de mise aux archives du 15 septembre 2004 » (voir "Procès" sur www.luigicascioli.it), sera repris avec renouvelée "opiniâtreté" dans le recours qui sera présenté au tribunal de Strasbourg.

Conclusion: Quelque soit la décision du Tribunal de Strasbourg, (connaissant les tentacules de la "Grande Pieuvre") même si tout est possible, une chose est de toute façon certaine: l'Église en sortira déchiquetée et avec les os cassés… et cela me suffit déjà pour pouvoir dire: « Je ne vécus pas en vain! »

Luigi Cascioli

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Rapport de l’audience qui s’est tenue à Viterbo le 27 janvier 2006

Comme prévu, Don Enrico était absent.
L’avocat de Cascioli Luigi, Me Mauro Fonzo, a parlé le premier. Pour démontrer le fondement des accusations énoncées dans la plainte, il a étayé son réquisitoire de nombreux exemples d’exégètes qui nient la figure historique de Jésus, citant même parmi eux certains de matrice chrétienne et croyants, tel Renan.
Me Severo Bruno, avocat de Enrico Righi, au contraire, ignorant tout argument relatif à l’existence du Christ, a dévié du chef de l’accusation, soutenant que la responsabilité d’un faux historique éventuel n’est pas imputable à don Enrico Righi mais à ceux qui l’ont affirmé avant lui.
Pratiquement il a voulu dire : « Au cas ou Christ ne resultrerait pas existé, ce sont les auteurs des Textes Sacrés qui mériteraient d’être condamnés et non don Enrico qui s’est borné à répéter ce que d’autres ont écrit », comme si la personne qui vend le poisonne doit pas etre consideré responsable des dommages qu'il peur produire si la formule a été inventée par un autre.
C’est par cette forme de défense qui tend à décharger sur des personnes n’existant plus et par conséquent non punissables par la loi, que l’Eglise démontre toute sa faiblesse. Sachant qu’elle ne pourra jamais démontrer l’existence historique du Christ, son seul but est de trouver n’importe quel prétexte, même le plus vil, pour faire échouer une accusation dont elle sait bien qu’elle pourrait se terminer par une sentence qui signerait sa fin si elle allait à son terme.
Après avoir écouté les deux parties, le juge Gaetano Mautone s’est donné du temps pour prendre sa décision.
Laquelle des deux versions prendra-t-il en considération ?
Dans le respect de la procédure judiciaire, les versions que peut adopter le juge pour émettre sa sentence sont au nombre de deux :
1) Se baser sur une compétence personnelle en la matière qui serait, dans ce cas, la ‘’christologie’’.
2) Dans le cas contraire, nommer un CTU (représenté dans ce cas par un expert des Textes Sacrés) qui établirait si les preuves avancées dans l’accusation doivent être repoussées ou sont considérées valables pour donner lieu à un procès.
La loi sera-t-elle respectée ? Connaissant les motifs invoqués pour justifier les précédents classements aux archives, que peut-on supposer d’autre que la répétition des mêmes abus si nous ne nourrissions une certaine espérance de voir les choses changer du fait que cette fois-ci la sentence ne restera pas dans le cadre d’une petite commune informée avec partialité par un petit journal de province, mais ira bien au-delà, intéressant tout le monde? Et le tribunal de Viterbo devra bien en tenir compte de sela s’il ne veut pas compromettre l’honneur d’une nation laïque et indépendante, au moins pour ce qui concerne la justice, comme l’a déjà fait la presse nationale dont le silence sur ce procès a démontré à quel point l’Italie s’est réduite à un fief du Vatican.

Luigi Cascioli

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A' la suite del la nouvelle confirmation eue par la Cour d'Appel de
Rome, le Juge Gaetano Mautone a fixe' la prochaine audience
le 27/01/2006


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TRIBUNAL DE VITERBO
BUREAU DU JUGE POUR LES ENQUETES
PRELIMINAIRES

DECRET DE FIXATION DE L'AUDIENCE
LA SUITE DEL LA DEMANDE DE MISE AUX ARCHIVES
NON ACCUEILLIE
ART. 409 - COMMA 2-3 CPP

Le juge pour les enquetes preliminaires
lu les actes du procede' penal ci-dessus indique' a' l'egard de
Righi Enrico
en ordre au delit relatif a' l'art. 661 CP a' Bagnoregio le
9/03/2004
prise en examen la demande de mise aux archives du Procureur de la Republique

vue l'opposition de la partie offense'
considere' que la demande a' l'Etat ne peut etre accuillie
vu l'art. 409 comma 2 CPP

FIXE

la date de l'audience a' la Chambre du Conseil pour le jour
27/01/2006 a' 9h00 a' Viterbo, rue G.Falcone et P.Boresellino Loc.
Riello Viterbo (NOUVEAU PALAIS DE JUSTICE), en disposant en aviser
le Procureur de la Republique, la personne soumise aux
enquetes et la personne offense'e par le delit
- Righi Enrico, enquete', domicile choisi aupres de l'avocat Severo Bruno rue Cavour 67 Viterbo
- Avocat Severo Bruno rue Cavour 67 Viterbo
- Cascioli Luigi, partie offensee, domicile choisi aupres de l'avocat Mauro Fonzo corso Cavour 84 Foligno
- Avocat Mauro Fonzo corso Cavour 84 Foligno
- Procureur de la Republique Dr. Petroselli
et communication au Procureur General aupres de la Cour d'Appel

Envoie a' la greffe pour les accomplissements de competence.

Viterbo, le 16/11/2005.
Le Juge pour les Enquetes preliminaires
Dr. Gaetano Mautone
timbre et signature non lisibles

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CABINET LEGAL FONZO
Avocat Mauro Fonzo
DEFENSEUR EN CASSATION
DR. LORETTA DE TONA

Tribunal de Viterbo
Cabinet du Juge pour
les enquetes preliminaires
Loc. Riello - 01100
Viterbo


Objet: avis de fixation d'audience prot. 3724/2004 RG GIP

En date 1/12/2005 a' ce bureau a' ete' notifie' un decret de
fixation d'audience pour le procede' en objet portant une date de
toute evidence erronee.
C'est pour cela que je formule la presente pour inviter le
Bureau dont a' l'adresse, en nom et pour compte de la Partie
offensee M. Luigi Cascioli, a' bien vouloir nous communiquer la
date correcte de l'audience dans les termes pour pouvoir exercer
les droits dus a' notre assiste'.
Avec observance,

Avocat Mauro Fonzo

Ci-joint la copie de l'avis.

A' la suite de l'erreur commise par la greff