A LA
PROCURATION DE LA REPUBLIQUE AUPRES DU TRIBUNAL
DE VITERBE.
Le soussigné Luigi Cascioli,
résident à Roccalvecce (Viterbe) Italie,
via delle Province n. 45/b,
EXPOSE CE QUI SUIT
Le soussigné, après de
longues et approfondies études consistant aussi
(et pas seulement) en une exégèse textuelle
de l’Ancien Testament, est
arrivé à la conclusion que, beaucoup des
faits présentés comme vrais et
historiques par les soi-disantes « Saintes Ecritures
» sont en réalité
des faux, premier parmi tous l’Historicisme de
la figure de
Jésus-Christ, en grande partie empruntée
sur celle de Jean de Gamala,
fils de Judas et descendant de la stirpe des Asmonéens.
Les motivations qui ont conduit l’exposant
à telle conclusion sont en
détail exposées dans le livre que l’on
allègue au présent exposé, duquel
ils constituent partie essentielle et
intégrante.
Avec le présent exposé
on ne veut pas contester la liberté des Chrétiens
à professer la propre foi, ratifiée par
l’article 19 de la Constitution,
mais on veut stigmatiser l’abus que l’Eglise
Catholique commet, en se
servant du propre prestige, pour inculquer en tant que
faits réels et
historiques, celles qui ne sont rien d’autre que
des inventions.
/Un clair exemple de tel abus a été
commis par Don Enrico Righi (curé de
Bagnoregio) lorsqu’il a déclaré,
sur le bulletin de la paroisse de S.
Bonaventura de Bagnoregio n° 245 mars-avril 2002,
que Jésus-Christ
représente une figure historique en affirmant
faussement qu’il était
fils de Joseph et de Marie (personnages, eux aussi,
immaginaires et donc
historiquement inexistants), né à Bethléem,
et qu’il avait ensuite vécu
à Nazareth. Que la figure de Jésus-Christ
ait été entièrement empruntée
sur celle de Jean de Gamala, fils de Judas, nommé
aussi Galiléen, est
fait sûr et démontré par une infinité
de preuves qui rend impossible ne
pas croire aux falsifications faites par les rédacteurs
de l’Evangile.
Il suffit de penser à celle concernant la transformation
de l’appellatif
Naziré, nom avec lequel on appelait Jean de Gamala,
en Nazaréen donné a
Jésus, en tant qu’habitant de Nazareth,
pour démontrer la substitution
de personne./
D’un point de vue pénaliste,
de telles falsifications historiques
peuvent intégrer les cas en question de deux
délits : l’abus de la
crédulité populaire et la substitution
de personne (dans le cas de
Jésus-Christ).
Aux
termes de l’art. 661 C.P., on a abus de la crédulité
populaire
lorsque quelqu’un, par le moyen d’impostures,
induit en erreur une
multitude de personnes, dans le cas spécifique,
l’Eglise Catholique (et
pour elle ses ministres du culte comme Righi, dans ce
cas), en donnant
pour certains les faits historiquement inexistants (donc
en présentant
comme vrais et réellement advenus des faits inventés
en fonction de la
doctrine religieuse ), trompe toutes les personnes qui
entrent en
contact avec l’enseignement de cette religion
en les induisant à croire
en elle sur la base non pas d’argumentations purement
théologiques
(complètement licites et admissibles), mais sur
la base d’une
représentation trompeuse des faits. Le crime
est de nature
contraventionnelle, c’est pour cela que l’élément
psychologique de la
faute est suffisant, ce qui est certainement vérifiable
dans tous les
ministres du culte catholique (donc même de Don
Enrico Righi), puisqu’on
ne peut croire que des personnes instruites et qui -pour
vocation et
pour métier- étudient continuellement
la Bible et les Evangiles ne se
sont pas aperçues des nombreuses et répétées
faussetés (même grossières) contenues
dans de tels écrits.
En ce qui concerne le délit de
substitution de personne, on le trouve
quand un sujet, pour en tirer un avantage, induit d’autres
en erreur en
attribuant, à soi-même ou à d’autres,
un faux nom.
Dans le cas en examen, le livre (auquel
je renvoie pour de plus
complètes explications) démontre que Jésus-Christ
n’a jamais existé et
que, sous ce nom, se cache un certain Jean de Gamala.
Donc, les
ministres de l’Eglise Catholique (comme Don Righi)
qui font du
prosélytisme /(donc ils tirent avantage de l’augmentation
du nombre des
fidèles qui accroit les introïts soit des
offrandes directes des fidèles
que de celles du 8 pour mille uni à la déclaration
des revenus)/,
induisent en erreur, sur la base de telles faussetés,
ceux qui reçoivent
le message et, donc, commettent le délit prévu
et puni par l’art. 494 du
code pénal.
Entre autre, afin d’intégrer
le délit dont nous parlons « ce n’est
pas
nécessaire que le but que s’était
proposé l’agent soit en soi-même
illicite ou de nature patrimoniale, pouvant-il être
licite et non
patrimonial » (Cass. Section V 9.02.1973 n. 164
; conforme Cass. Section V 17.02.1967 n. 340).
L’élément subjectif
requis est le dol spécifique, qui subsiste dans
tous
ces sujets qui sont conscients de telles faussetés,
mais qui ne se font
aucun scrupule de continuer à les divulguer,
comme fait Don Righi.
La responsabilité du Souverain
Pontife peut être seulement morale, vu
son immunité aux termes de l’Art. 3-I comma
du Code Pénal, alors que
pour tous les autres ministres du culte catholique peut
s’annoncer la
résponsabilité de nature pénale.
La continuelle présentation et
divulgation d’évènements faux faits
passer pour vrais lèse aussi la tranquillité
morale et la sérénité de
l’instant, avec conséquent dommage causé
par l’emotional distress,
duquel on demandera l’indemnisation du dommage
dans les sièges
opportuns, par le moyen d’une constitution de
partie civile, qu’on
réserve dès maintenant.
Le soussigné, à disposition
de l’Autorité Judiciaire pour fournir toute
explication, se réserve d’intégrer
tout ce qui a été exposé et demande
expressément d’être écouté
à propos des faits ci-dessus cités.
Tout cela dit et considéré,
le soussigné Luigi Cascioli présente formelle
DENONCIATION-QUERELLE
A Don Enrico Righi, curé de Bagnoregio
(Viterbe, Italie), résident à
Bagnoregio, via Matteotti n°45, et à tous
les ministres de l’Eglise
Catholique, pour le délit p. et p. des art. 494
et 661 C.P., ainsi que
pour tout autre crime que V.S. voudra avertir dans le
comportement
décrit ci–dessus.
Avec réserve de constitution
de partie civile dans les manières et les
temps établis par la loi, je demande, ex art.
408 C.P.P., d’être informé
en cas de classement aux archives de la présente
querelle.
On dépose le livre cité
/« La Fable de Christ » et le journal
paroissial/ comme meilleure confirmation de ce qui à
été ci-dessus exposé.
Meilleures salutations,
LUIGI CASCIOLI
------------------------------------------------------------
INSTANCE
ET EXPOSE
Cher
Procureur,
Le
soussigné Luigi Cascioli , résidant à
Roccalvecce (Viterbo). Viale (avenue) delle Provincie
n° 45 /b, le 13.9.2002. a présenté
une dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi
(curé de Bagnoregio) pour les délits inscrits
aux articles 661 et 494 du C.P., car Don Righi présente
comme figure historique Jésus Christ, alors que
(selon des études philologiques approfondies
et des exégèses textuelles conduites par
le même représentant sur les Evangiles
et sur la littérature patristique et sur l'historiographie
du Ier et du IIème s. ap. J.C.) Jésus
Christ n'est pas un personnage historique et de ce fait
sa figure fut empruntée et modelée sur
le modèle d'un certain Jean de Gamala, pour preuve,
le dénonciateur joint une copie du bulletin paroissiale
de l'Eglise de St Bonaventura de Bagnoregio (signé
par Don Enrico Righi) et son propre livre « La
fable du Christ » pour démonstration de
la présupposée logique des délits
(non historicité de la figure de Jésus
Christ et substitution de la figure de Jean de Gamala
avec celle de Jésus Christ).
Ensuite,
le soussigné présentait un mémoire
complémentaire, rappelant la subsistance de l'aggravante
inscrite à l'article 61 n. 9 du c.p. et joignant
d'autres éléments comme supports.
Par
la suite, le parti offensé demandait au Ministère
Public de procéder à un incident probatoire,
prévu à l'article 394 du c.p.p., demandant
à un ou plusieurs experts le devoir d'accepter
l'historicité au moins de la figure de Jésus
Christ ; cependant, l'accusé resta inerte. Avec
un acte notifié le 12.5.2003, le Ministère
Public demandait le classement de la notizia criminis
, retenant la procédure contre inconnus ( ! ),
avec comme motivation « les demandes d'investigations
sont formellement inadmissibles et quand à l'objet
… la dénonciation est manifestement non
fondée et on ne peut relever des hypothèses
de délit. » Contre une telle demande, le
soussigné présentait une opposition rituelle
et au moment opportun, en déduisant :
1)
que la procédure ne pouvait pas être répertoriée
« contre inconnus » puisque dans la dénonciation
comme dans les actes successifs il était toujours
convenu Don Enrico Righi comme responsable des faits
intégrants du délit dénoncé
et qu'il avait produit aux actes le bulletin paroissiale
et les avait signés.
2)
que la disposition avait été répertoriée
seulement relativement à la contravention de
l'article 661 du C.P. et pas encore au plus grave délit
de l'article 494 du C.P.
3)
qu'on ne pouvait déclarer l'évident manque
de fondement de la notice de délit, puisque –
une fois démontré le préposé
logique (non historicité de la figure de Jésus
Christ et son modelage sur la figure de Jean de Gamala)-
subsistent bien les délits exposés en
dénonciation, comme le démontrait également
une analyse de jurisprudence sur ce point.
4)
que le rejet de la demande d'incident probatoire était
tout à fait inadmissible, puisque substantiellement
sans motif, et non fondée puisque l'accomplissement
de l'expertise requise aurait comporté une suspension
du débat supérieure à 60 jours
et ainsi elle consentait à l'exécuter
dans la phase des investigations, comme prévu
à l'art. 392 alinéa II du code de Procédure
Pénale. On ne pouvait non plus soutenir la preuve
de l'historicité de Jésus Christ. Le soussigné,
pourtant, s'opposait au classement et demandait que
le GIP ordonne au Ministère public de formuler
directement l'inculpation ou bien de mener les activités
d'instruction requises, inscrivant Don Enrico Righi
dans le registre des enquêtes pour la présumée
commission des délits inscrits aux articles 494
et 661 du Code Pénale. Le GIP du tribunal de
Viterbo, à la résiliation de la réserve
assumée, rejetait l'opposition et prescrivait
le classement de la procédure à charge
d'inconnus , relevant que : 1) l'opposition aurait été
inadmissible « puisque privée de la spécifique
indication de l'objet des enquêtes supplétives
et des relatifs éléments de preuve caractérisés
par des nécessaires conditions de pertinence
et d'importance » ; 2) que le problème
de l'historicité de Jésus Christ «
se prête mal à être abordée
scientifiquement dans une salle de tribunal »,
3) que « aussi à vouloir considérer
les inculpations inscrites aux art. 494 et 661 du C.P.
hypothèses émises par Cascioli, doit se
reconnaître comme le premier cas particulier de
délit qui présuppose l'obtention d'un
avantage, alors que pour intégrer la seconde
il faut l'élément perturbant de l'imposture,
ou bien d'un habile artifice apte à déterminer
un abus de la crédulité populaire avec
conséquence perturbation de l'ordre publique,
éléments pas tous retrouvables dans le
cas en examen » : Rien n'était dit en ce
qui concerne l'ouverture due la procédure à
charge des « inconnus » et rien sur Don
Enrico Righi et rien non plus sur l'évaluation
du seul délit moins grave effectué par
le Ministère Public.
Encore,
en date du 9.03.2004 celui qui écrit devait ainsi
présenter, au Parquet de la République
auprès du Tribunal de Viterbo la seconde dénonciation-plainte
contre Don Enrico Righi (curé de Bagnoregio)
demandant que le nom de la personne reconnue comme auteur
suspect du délit (c'est à dire Don Enrico
Righi) fut inscrit dans le registre des notices de délit,
comme décrété avec autorité
par la Cass. Sez. 119.5.1998 n° 1840, sur la base
de la disposition de l'art. 335 alinéa I du Code
de droit Pénal, dans lequel est prévu
que « le ministère public inscrit immédiatement,
dans le registre approprié conservé par
le bureau, chaque notice de délit qui lui arrive
ou qu'il a acquis de sa propre initiative mais encore,
simultanément ou du moment dont il résulte,
le nom de la personne à laquelle le même
délit est attribué ». L'attribution
formelle du crime à une personne contenue dans
la notice du délit, détermine, en fait,
l'obligation d'inscription de la même dans le
registre relatif , selon Cass. Sez. I 26.6.1996 n°
4384 et la nécessité des approfondissements
d'instruction.
Tout
ce qui a été déclaré ne
paraît pas que la recherche de la vérité
qui est un apanage de l'organisme judiciaire consente
à opérer l'évidente distorsion
des faits qui a été exécutée
faisant résulter la procédure à
charge d'inconnus à la place de la personne accusée.
Un tel comportement du Doct. Renzo Petroselli, Substitut
du Procureur de la République auprès du
tribunal de Viterbo, apparaît à qui écrit,
ne pas se montrer comme un acte qui puisse manifester
le libre consentement de celui qui l'émet, mais
pourrait plutôt, hypothétiquement, être
finalisé à la faveur illicite ou au désavantage
du parti en cause ou du tiers (en … ce qui regarde
l'influente Eglise Catholique, si pourtant il faut respecter
dans le milieu proprement de la confession, ça
apparaît inacceptable dans le lieu en question
; du système étatique propre et de l'exercice
de la souveraineté : ex art. 7 Cost : !)
On
demande pourtant avec confiance à la S.V . d'accepter
le manque d'indications de Don Enrico Righi lequel auteur
suspect du délit de la procédure n°
4998/2002R.G.Ign. constitue une précise violation
des droits de norme pénale, ou de règles
déontologiques, en raison du devoir d'attention
et de correction qui incombe aux Juges du bureau du
M.P. et si, dans la circonstance concrète, seraient
respectés tous les droits des partis impliqués
comme par exemple si ont été communiqué
à l'investigateur les accusations les rendant
flous dans des formes et des termes rituels ; comme
aussi celui du représentant de ne pas répéter,
avec aggravation des frais, ses demandes. Tout ceci
dans le but d'engager des actions pénales s'ils
se ravisaient des délits dans les comportements
objets des censures floues du représentant. On
fait demande d'être averti de toutes les dispositions
qui seront adoptées et de revoir l'avis d'un
éventuel classement.
Viterbo,
24 Mars 2004. Luigi Cascioli.
Comme
résultat de cet exposé contre le Substitut
du Procureur de la République, le Doct. Renzo
Petroselli, la partie, le match s'est transféré
au tribunal de Perugia duquel dépend le Tribunal
de Viterbo. Nous restons en attente de la réponse
du Procureur en chef du Tribunal de Perugia pour décider
des suites à donner.
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Réponse
au classement prescrit par le G.I.P. doct. Gaetano Mautone
Av.
Cass . Mauro FONZO
Corso
Cavour, 84 – Tel. 0742/340038
0634
– FOLIGNO ( PG).
AU
PARQUET DE LA REPUBLIQUE
SAISI
PAR LE TRIBUNAL DE VITERBO
Monsieur
Luigi Cascioli , résidant à Roccalvecce
(Viterbo), Via delle province 45/B et ayant élu
électivement domicile aux fins du présent
rapport-plainte, à Foligno (PG), Corso Cavour
n° 84, au cabinet de travail de l'avocat FONZO Mauro,
défenseur de confiance, en vertu de la nomination
du présent acte ci-dessous
DECLARE
QUE
En
cette date du 13.9.2002 Monsieur Luigi Cascioli a présenté
une dénonciation-plainte contre Don Enrico Righi
(Curé de Bagnoregio) pour les délits inscrits
aux articles 661 et 494 du code pénale, car Don
Righi présente comme figure historique Jésus
Christ, alors que (selon des études philologiques
approfondies et des exégèses textuelles
conduites par Monsieur Cascioli en personne sur les
Evangiles et sur la littérature patristique et
sur l'historiographie du Ier et du IIème siècle
ap. J.C.) Jésus Christ n'est pas un personnage
historique et de ce fait sa figure fut changée
et modelée sur le modèle d'un dénommé
Jean de Gamala, pour le prouver, le dénonciateur
joint une copie du bulletin paroissiale de l'Eglise
de St Bonaventura de Bagnoregio (signé par Don
Enrico Righi) et son propre livre « La fable du
Christ » pour démonstration de la présupposée
logique des délits (non-historicité de
la figure de Jésus Christ et substitution de
la figure de Jean de Gamala avec celle du Christ).
Par
la suite, Monsieur Cascioli présentait un mémoire
complémentaire, rappelant la subsistance de l'aggravante
de l'art. 61 n° 9 du c.p. et joignat un autre matériel
comme support.
Puis,
le parti offensé demandait au Ministère
Publique de procéder à un incident probatoire,
aux termes de l'art. 394 C .P.P., demandant à
un ou plusieurs experts le devoir d'accepter au moins
l'historicité de la figure de Jésus Christ
; Cependant, l'Accusé resta inerte. Avec un acte
notifié le 15/5/2003, le Publique Ministère
demandait le classement de la notizia criminis , retenant
la procédure contre inconnus ( ! ), avec comme
motivation « les demandes d'investigations sont
formellement inadmissibles et quand à l'objet
… la dénonciation est manifestement non
fondée et on ne peut relever des hypothèses
de délit. » Contre une telle demande, Monsieur
Cascioli présentait une opposition rituelle et
au moment opportun, en déduisant : 1) que la
procédure ne pouvait pas être répertoriée
« contre inconnus » puisque dans la dénonciation
comme dans les actes successifs était toujours
convenu Don Enrico Righi comme responsable des faits
intégrants du délit dénoncés
et qu'il avait produit le bulletin paroissiale de et
les avait signés.
2)
que la disposition avait été répertoriée
seulement relativement à la contravention de
l'article 661 du C.P. et pas encore le plus grave de
délit de l'article 494 du C.P.
3)
qu'on ne pouvait déclarer l'évident manque
de fondement de la notice de délit, puisque –
une fois démontré le préposé
logique (non historicité de la figure de Jésus
Christ et son modelage sur la figure de Jean de Gamala)-
subsistent bien les délits exposés en
dénonciation, comme le démontrait également
une analyse de jurisprudence sur ce point.
4)
que le rejet de la demande d'incident probatoire était
tout à fait inadmissible, puisque substantiellement
sans motif, et non fondée puisque l'accomplissement
de l'expertise requise aurait comporté une suspension
du débat supérieure à 60 jours
et ainsi elle consentait à l'exécuter
dans la phase des investigations, comme prévu
à l'art. 392 II alinéa du code de Procédure
Pénale. On ne pouvait non plus soutenir la preuve
de l'historicité du Christ. Monsieur Cascioli
s'opposait au classement et demandait que le GIP ordonne
au Ministère Public de formuler directement l'inculpation
ou bien de mener les activités d'instruction
requises, inscrivant Don Enrico Righi dans le registre
des enquêtes pour la présumée commission
des délits inscrits aux articles 494 et 661 du
code pénale. Le GIP du tribunal de Viterbo, à
la résiliation de la réserve assumée,
rejetait l'opposition et prescrivait le classement de
la procédure à charge d'inconnus , relevant
que : 1) l'opposition aurait été inadmissible
« puisque privée de la spécifique
indication de l'objet des enquêtes supplétives
et des relatifs éléments de preuve caractérisés
par des nécessaires conditions de pertinence
et d'importance » ; 2) que le problème
de l'historicité de Jésus Christ «
se prête mal à être abordée
scientifiquement dans une salle de tribunal »,
3) que « aussi à vouloir considérer
les inculpations inscrites aux art. 494 et 661 du C.P.
émettant l'hypothèse que Cascioli, doit
se reconnaître comme le premier cas particulier
de délit présuppose l'obtention d'un avantage,
alors que pour intégrer la seconde il faut l'élément
perturbant de l'ordre public, éléments
pas tous retrouvables dans le cas en examen »
: Rien n'était dit en ce qui concerne l'ouverture
due la procédure à charge des «
inconnus » et rien sur Don Enrico Righi et rien
non plus sur l'évaluation du seul délit
moins grave effectué par le Ministère
Public.
Tout
ceci déclare Luigi Cascioli comme représenté
ci-dessus et défendu,
IL
EXPOSE COMME IL SUIT
La
contestation de l'historicité de Jésus
Christ n'est pas une nouveauté introduite par
Monsieur Cascioli ( dont l'étude est seulement
la plus récente et celle dans laquelle est le
mieux décrit la reconstruction du « personnage
Jésus Christ » sur la base de Jean de Gamala),
mais elle s'inscrit dans le sillon d'une tradition d'études
et de réfutations autorisées qui remontent
déjà aux premiers siècles de l'ère
chrétienne. Les thèses selon lesquelles
Jésus n'aurait absolument pas vécu sont
proposées dans de nombreux livres. Parmi ceux
notoires également dans le milieu académique
catholique on peut citer G.A. Wells. Le dit auteur qui
est signalé par les plus éminents biblistes
retient que toutes les vicissitudes de Jésus,
ses miracles, sa doctrine et sa crucifixion sous Pons
Pilate, sont inventées par les chrétiens
seulement après 70 ap. J.C.
Précédemment,
selon Wells, Jésus avait été annoncé
comme la sagesse incarnée qu'en circonstances
ignotes il avait été crucifié pour
les péchés des hommes et était
ressuscité. Cette thèse se base sur trois
lignes argumentatives : a) La documentation extra chrétienne
sur l'existence de Jésus est trop tardive pour
qu'elle puisse se vanter d'une une probante force indépendante
de la tradition chrétienne ( quand à Flavio
Giuseppe, Wells retient que aucune des mentions de Jésus
n'est authentique ). b ) Les Evangiles ne sont pas des
sources sur la base desquelles on peut reconstruire
des historiques dignes de foi, parce qu'ils ont été
produits trop tard : après l'an 70. Ceci dans
le cas d'éventuelles traditions palestiniennes
signifierait une fracture radicale à l'intérieur
de la tradition. En outre sur de vastes traits les évangiles
sont dépendants les uns des autres et pour cela
il n'est pas facile de vérifier une attestation
multiple des vicissitudes de l'histoire de Jésus.
Les évangiles sont des textes dans une large
mesure légendaires et dans lesquels s'interpénètrent
des conceptions théologiques de leurs auteurs
, qui n'étaient pas hébreux et qui écrivèrent
hors de la Palestine. c ) Les lettres de Saint Paul
sont en effet des témoignages chrétiens
archaïques, qui pourtant se taisent sur la vie
de Jésus, en particulier sur ses miracles, sa
doctrine et les circonstances précises de sa
mort, Wells en conclue que l'auteur de ceux -ci ne savait
rien à ce sujet .) Assez souvent les lettres
paolines désignèrent Jésus Christ
comme Rédempteur qui préexistant et incarné,
qui à une époque imprécise a été
crucifié comme juste souffrance pour les pêchés
de son peuple. Pour Wells (exégèse catholique)
ceci est un développement du mythe de la Sagesse
préexistante qui a choisi d'habiter en Israël
( = s'est incarnée), dont l'affirmation sur la
mort honteuse du juste ( le représentant de la
Sagesse Sap. 2, 22), enrichie avec des passages prophétiques
( les chants de l'esclave de YHWH. Zc 12 , 10) furent
interprétés en référence
à une crucifixion. Ces mythes annonceront Pierre,
Paul et les autres apôtres sur la base des apparitions
( Les Cor. 15, 22 ss), dans lesquelles le ressuscité
s'était fait connaître à eux.
Le
bulletin paroissial signé par Don Enrico Righi,
que le représentant invoque de nouveau, malgré
tout, contient des références aux machinations,
aux offenses et aux terribles tourments subis par l'homme
Jésus. Les références faites sont
exposées dans le bulletin sans le remède
de la critique historique qui ainsi induisent, qui sont
des idéaux à induire à l'extrémisme
religieux. Dans le même milieu théologique
contemporain, il y a un fait que Don Enrico Righi ne
peut ignorer , qui se reflète d'une façon
très critique au problème de l'historicité
de Jésus de Nazareth. Un exemple pour tous se
trouve dans le travail du plus éminent chercheur
biblique contemporain John P. Mayeur qui a écrit
: « Un Ebreo Marginale » - Ripensare il
Gesù storico – Le radici del problema e
della persona. Cette œuvre a été
imprimée avec l'éditeur de Mons. Patrick
j. Sheridan , Vic. Gen. New York le 25 juin 2001 avec
comme titre original : A Marginal Jew, Rethinking the
Historical Jesus ; et il est, en Italie, publié
depuis 2001 avec réédition en 2002 de
la maison d'édition QUERINIANA de Brescia pour
la collana BTC (BIBLIOTECA DI TEOLOGIA CONTEMPORANEA
) qui est répertoriée à l'adresse
internet www.queriniana.it - Par conséquent,
un prêtre, curé de Bagnoregio doit bien
savoir qu'il existe un problème qui ne peut être
tenu sous silence par rapport à la personne du
Jésus historique. Si avec tout cela, et contrairement
à tout ce qu'il sait, il tait ceci et ainsi l'emphatise
comme dans le document ci-joint qu'il a fait, le scandale
sur les souffrances de Jésus il ingéniera
le lecteur au fanatisme avec perturbation de l'ordre
public. Don Enrico Righi ( curé de Bagnoregio)
a soutenu, dans le bulletin de la paroisse de S. Bonaventura
in Bagnoregio n° 245 mars avril 2002, la figure
historique de Jésus affirmant faussement qu'il
est lui fils de Jésus et de Marie (personnages
imaginaires et historiquement inexistants), né
à Bethléem et grandit à Nazareth.
Que la figure de Jésus soit construite entièrement
sur celle d'un certain Jean de Gamala, fils de Judas
dit le Galiléen, résulte d'une manière
irréfutable d'une si grande quantité de
preuves à ôter tout doute des falsifications
opérées par les rédacteurs des
évangiles. Il suffirait seulement de regarder
la transformation de l'appellation Nazireo , avec laquelle
était appelé Jean de Gamala, et celle
de Nazareno donnée à Jésus, lequel
habitant de Nazaret, pour démontrer de la manière
la plus absolue la substitution de personne. Pour ces
motifs Don Enrico Righi, curé de Bagnoregio,
devra être inscrit dans les registres des investigations
. « le nom de la personne reconnue comme auteur
suspect du délit est Don Enrico Righi et pour
cela il devra être inscrit dans le registre des
notices de délit, comme décrété
avec autorité par la Cass. Sez . 119.5.1998 n°
1840, sur la base de la disposition de l'art. 335 alinéa
II du code de droit pénal, dans lequel est prévu
que « Le Ministère Public inscrit immédiatement
, dans le registre approprié conservé
par le bureau, chaque notice de délit qui lui
arrive ou qu'il a acquis de sa propre initiative mais
encore, simultanément, ou du moment dont il résulte,
le nom de la personne à laquelle le même
délit est attribué ». L'attribution
formelle des crimes à une personne contenue dans
la notice du délit, détermine, en fait,
l'obligation d'inscription de la même dans le
registre relatif, selon Cass. Sez .I 26.6 1996 n°
4384 et la nécessité des approfondissements
d'instruction. Sur ce point il est nécessaire
que la question soit approfondie en cour juridique selon
la loi de notre Constitution qui impose comme les juges
doivent se soumettre seulement à la loi (art.
101) et non aux conventions religieuses ( di chicchessia
) et que l'action pénale est obligatoire (art.
112). Là on retient la manière controversée
et on doit faire recours à l'instrument de l'expertise
noté à l'art. 220 du C.P.P., qui sert
à porter à la connaissance du juge tout
le savoir technique qui n'est pas en sa possession.
Par
conséquent on demande déjà en cette
cour l'exécution d'une thèse d'expertise
pour déterminer comment, en l'état des
actuelles résultantes de la critique historique
et déjà également en milieu religieux,
le problème d'une invention de la personne «
du Jésus historique » est actuel. L'épreuve
est de s'assumer dans les confrontations de Don Enrico
Righi et c'est cela de déterminer si on a la
volonté et la conscience de générer
le fanatisme au sujet de la nature historique de Jésus
le Christ. La subsistance d'une contrevérité
de base et la conscience au sujet de cette contrevérité
doit être évaluée aussi sur le fait
que se produit récemment ces excès de
fanatisme religieux qui trouvent dans le soulignage
truculent, également cinématographique,
de la passion du Christ, résonance et possible
perturbation de la cohabitation civile. Dans une telle
situation il incombe aux ministres du culte la responsabilité
de ne pas occulter le problème de la personne
Jésus alors qu'il est connu par eux mais caché.
Un tel approfondissement parvient au moment investigateur
et nécessaire que Don Enrico Righi soit inscrit
dans le registre des investigations. Successivement
à l'investigation sur la conscience dans le ministère
du culte indiqué au sujet du manque de fondement
de la figure historique de Jésus et donc sur
le caractère volontaire de perturbation qui s'obtient
dans les âmes des destinataires de ses communications
écrites et orales avec la présentation
de la passion du Christ, cela pourra donner lieu à
une expertise ( à confier à un ou plusieurs
experts en histoire des religions et/ou en histoire
romaine et du Moyen-Orient relatives à la période
du Ier s. av. J.C.-II s. ap. J.C., ainsi qu'en épigraphie
et paléographie dans les langues hébraïques,
araméennes, grecque et latine) qui devra examiner
en détail les sources originaires et contemporaines
à l'époque de la présumée
vie de Jésus le Christ et, si possible, dans
leur langue de rédaction originaire et pas en
traduction qui pourraient trahir la signification primitive
des paroles utilisée, vérifiant l'existence
d'éventuelles extrapolations et entrecroisant
les résultats documentés avec les sources
épigraphiques, matérielles, monumentales,
topographiques, paléographiques, etc. …
L'avantage du fait qu'on continue à taire les
évidences de la critique historique également
acquise dans la théologie contemporaine réside
dans le majeur prosélytisme déterminé
par l'imposture, prosélytisme qui détermine
une majeure quantité d'offre et un majeur quota
de 8 pour mille, donc des avantages directs et indirects
au coût connu pour perturber l'ordre public qui
obtient l'indiction au fanatisme. L'artifice réside
dans le fait de présenter comme historique un
personnage mythique et fruit de l'invention (Jésus
le Christ), l'abus de la crédulité populaire
qui a avec l'enseignement répété
de tels mensonges et réside dans la perturbation
du droit de chacun à croire et à ne pas
croire, au moyen de telles représentations trompeuses
des faits (accorder l'historicité à un
personnage inventé attribue plus de force aux
idées attribuées à celles-ci).
Sur ce point, la jurisprudence a retenu qu'il y avait
dérangement de l'ordre public en cas de préjudices
du droit à une information correcte et responsable
apte à former une libre conviction propre, à
charge d'une série indéterminée
de personnes (Cass. Sez. II 1/4/1966). Pourtant, on
demande que le Ministère Public consentît
d'inscrire, avec chaque effet en conséquence
de la loi, Don Enrico Righi dans le registre des investigations,
pour les délits supposés ci-dessus.
Conformément.
Viterbo,
9 mars 2004 Av. Cass . Mauro FONZO
Luigi
Cascioli Corso Cavour, 84 – Tel. 0742 340038
•
FOLIGNO – Perugia
PROCURATION
SPECIALE
Je
déclare comme mon défenseur dans la présente
procédure l'av. Mauro Fonzo, auquel je confère
tous les plus amples pouvoirs de loi, y compris la présente
éxposé-dénonciation et de rédiger
des mémoires complémentaires, demander
un incident probatoire ex art. 394 du c.p.p. et avec
réserve de constitution de parti civile. Avec
l'expresse requête d'être avisé ex.
art. 408 c.p.p. dans le cas de classement de la notice
criminis.
Ci-joint
la copie du bulletin Mars-Avril 2002 signé par
Don Enrico Righi.
Ci-joint
déposé le livre « La fable de Dieu
» et certificat de l'état civil de Don
Enrico Righi.
A
élu domicile en son bureau de Foligno, corso
Cavour n°84.
Viterbo,
9 mars 2004
Signé
Luigi Cascioli
Signature
authentique Av. Mauro Fonzo
Corso Cavour, 84 – Tel : 0742340038
06034
FOLIGNO (PG).
PROCURATION
DE LA REPUBLIQUE
c/o
TRIBUNAL DE VITERBO
DEPOSE
EN CHANCELLERIE
LE
09 - 03 – 04
Le
directeur de chancellerie
(Allegrini
Luciano)
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La
fuite récidive de l' Eglise confirme la non existence
de Jésus dit le Christ
REPONSE
DE LUIGI CASCIOLI A' L'ARCHIVAGE
Jamais il n'a été vérifié
dans l'histoire de la législation italienne et
mondiale que fût déclaré inconnu
un obstiné parfaitement confirmé en dénonciation
avec nom, prénom, adresse et profession.
Ce
cas, unique au monde, à été vérifié
au Tribunal de Viterbo à propos de la plainte
portée par Luigi Cascioli contre Don Enrico Rhigi,
né à Bagnoregio (VT) le 17/02/1930 habitant
45, via G. Matteotti et y résidant depuis sa
naissance (voir le certificat ci-dessus reporté).
Cette
incroyable déformation de la vérité,
exécuté par le Ministère Public
Doct. Renzo Petroselli (voir demande de classement du
…) et confirmé par le Juge Gaetano Mautone
le …….. , ne peut être que le résultat
d'une imposition exercée par l'Eglise (corruptrice
externe) sur deux magistrats pour éviter un procès
qui se serait inexorablement conclu avec la démonstration
de la non existence historique du Christ.
L'Eglise,
n'ayant pas d'argumentation valide pour soutenir l'existence
de Jésus, existence qui jusqu'à maintenant
a établi avec plagia, le chantage et la violence,
ne pouvant se sauver à travers une action de
répression directe contre Luigi Cascioli, dont
le tranchement de la tête, la pendaison ou le
bûcher, a cherché à escamoter le
procès derrière une fuite que les juges
ont soutenu la déclarant « Inconnue ».
Le
grand pouvoir économique et idéologique
des ambitions d'une domination universelle qui tient
le monde en soumission, a démontré être
en réalité tellement faible et précaire
à la première attaque reçue de
manière claire et décidée, elle
en résulte, avec sa fugue, franchement ridicule.
Si
le Christ a vraiment existé, pourquoi l'Eglise
n'est-elle pas venue le démontrer dans un tribunal
? Quelle meilleure occasion pour affirmer, une fois
pour toutes, l'existence de Jésus à tous
ceux qui la nient ?
Si
les ministres de l'Eglise sont vraiment convaincus de
l'incarnation du Christ comme ils démontrent
l'être dans les prêches et dans les (manca
una parola nel testo in italiano ?) , s'ils sont déclarés
inconnus quand il leur est demandé de soutenir
dans un tribunal que Jésus, fils de Marie et
Joseph, est né à Bethlehem, a vécu
à Nazareth et est mort sur la croix sous Ponce
Pilate ? Pourquoi sont-ils restés fuyants devant
l'accusation d'être des partisans du faux ? Il
est possible que parmi tous les théologiens qui
gonflent vos rangs, des écrivains et historiens
catholiques, des exégètes et prêtres
exorcistes, vous n'ayez pas trouvé un capable
de contester les accusations qu'un petit homme, lequel
est Luigi Cascioli, vous a retourné avec sa dénonciation-plainte
?
Qu'est
ce qu'on peut déduire d'autre du fait que vous
n'avez pas réussi à trouver une preuve,
une seule seulement, de l'existence du Christ parmi
les innombrables traités de vos docteurs, parmi
ces Pères de l'Eglise que vous citez quotidiennement
pour soutenir vos vérités, si non que
vous êtes parmi les premiers à ne pas croire
à l'humanisation du héros sur lequel vous
basez votre impérialisme ?
La
foi que vous pourriez invoquer pour justifier votre
imposture gardez-la dans vos églises, réservez-la
à votre monde divin fait d'art abstrait et de
chimères, puisque dans un tribunal terrien administré
par un code pénal humain, qui exclue toute justification
basée sur la superstition, la magie, les dogmes
et les mystères, les vérités sont
acceptées seulement derrière des preuves
soutenues par la raison et le bon sens.
Dans
la situation dans laquelle vous vous êtes mis,
fuyant devant un procès humain, toute votre arrogance
basée sur le divin, si c'est tellement vain d'être
réduit à subire, sans possibilité
de réaction, chaque insulte et accusation qui
est retournée contre vous, de la plus petite
à la plus grande y compris cet intouchable Souverain
Pontife que aucun codifie qu'il soit divin ou humain
; comme aucune voiture blindée anti-projectiles,
ne pourra désormais plus défendre de la
bombe qui leur a été mise sous les fesses
avec la dénonciation-plainte présentée
au tribunal de Viterbo contre un de ses ministre le
21 nov 2002.
«
Lâches, imposteurs, pédérastes,
ladres, escrocs, faussaires, dupeurs, charlatans, bourreaux,
usuriers, faccendieri , assassins, adeptes de massacres
et de génocides, tortionnaires, traîtres,
bâtards, incestueux, proxénètes,
syphilitiques, empoisonneurs, mafieux, culatoni , sadiques,
masochistes, violeurs, névrotiques, stigmatisés…
» seront les épithètes que dorénavant
on pourra librement crier contre vous qui avez imposè
un Christ que vous même, avec votre fuite, avez
demontrè et confirmè être historiquement
inexistant.
Réduits
comme vous êtes, avec votre déclaration
fuyante à une bande de chacals fuyants, encore
plus vils et plus plagiant, bientôt ils trouveront
le courage de vous lancer toute la haine et la rancœur
qui s'est accumulée en vingt siècles d'abus,
de violence et de chantages subis par votre immoralité
et votre obscurantisme.
Fuyez,
continuez également à les déclarer
inconnus , mais ce ne sera pas en retournant à
l'anonymat que vous pourrez vous sauver. Votre heure
est sonnée, Le Christ est mort et vous avec lui.
Il ne vous reste qu'a disparaître profondément
dans cet enfer que vous avez construit vous-même
pour soutenir votre honteuse imposture.
Pour
vous démontrer à quel point je ne vous
crains pas, je veux réserver une appellation
particulière à votre Saint Père
, l'appelant « Barjiona » mais pas avec
la signification de « fils de Giona » que
vous avez voulu lui donner en le référant
à son prédécesseur Pierre, mais
avec celle qui exprime vraiment dans sa langue originaire
araméenne « fuyant » exactement comme
il a démontré être de déclarant
« inconnu » par les bouches du Ministère
Public du Doct. Renzo Petroselli et du Juge pour les
investigations préliminaires le doct. Gaetano
Mautone : « Jean-Paul II dit Barjiona ».
(Voir sur le dossier PROCES le chapitre à ce
propos « Les Apôtres du Jesus »).
Luigi
Cascioli.
Note
: A ceux qui m'ont dit que je peux être dénoncé
pour ce que j'ai écrit, j'ai répondu ferme
et décidé : « C'est ce que je veux
être ! ».
---------------------------------------------------------------------------------------------
Réponse du Juge des Investigations Préliminaires
à l'opposition de Luigi Cascioli.
TRIBUNAL DE VITERBO
BUREAU
DU JUGE POUR LES INVESTIGATIONS PRELIMINAIRES
Le
Juge pour les investigations préliminaires,
pourvoyant
à l'opposition de la demande du classement de
la procédure n°4998/2002 R.G. à charge
des Inconnus avancée par Luigi Cascioli ;
à
la lecture des actes de la procédure et à
l'écoute des partis parus à la chambre
du conseil ;
je
déclare que l'opposition proposée par
Luigi Cascioli résulte inadmissible, puisque
prive de la spécifique indication d'objet des
investigations supplétoires et des relatifs éléments
de preuve caractérisés par les nécessaires
conditions de pertinence et d'importance ( Cass. SS.UU.
14.4.96, Testa ) ;
retenu
que, le mérite, de la présupposée
logique d'où part le dénonciateur est
la « certitude » du fondement de sa propre
recherche historique sur la fausseté de la figure
et de l'existence même du Christ, argument qui,
par sa nature, à cause des séculaires
disputes théologiques et historiques sur ce point,
n'apparaît pas susceptible d'utiles approfondissements
instruits en cour pénale et, d'une autre part,
se prête mal à être affronté
scientifiquement dans la salle d'un tribunal ;
que,
du reste, à vouloir considérer également
les charges des articles 494 et 661 c.p. supposées
par Cascioli, doit se reconnaître comme le cas
particulier de délit qui présuppose l'obtention
d'avantages, tandis que pour intégrer la seconde
il faut l'élément de l'imposture, ou bien
d'un habile artifice apte à déterminer
un abus de la crédulité populaire avec
conséquence perturbation de l'ordre publique,
tous ces éléments n'étant pas retrouvables
dans ce cas en examen ;
qui,
pour les considérations supérieures, est
disposé au classement du contexte.
P.Q.M.
Vu
les articles 409, 410 c.p.p.,
Il
rejette l'opposition et prescrit le classement de la
procédure à charge des inconnus, ordonnant
la restitution des actes au P.M.
Envoyé
à la Chancellerie pour exécution.
Viterbo,
le 28.11.2003.
Dep.
28/11/03
Il
G.I.P.
Doct.
Gaetano Mautone.
Mise aux archives - audience 27/01/2006.
Annotations et commentaires de Luigi Cascioli.
La
numération des paragraphes mise à côté
des motifs allégués pour justifier la
mise aux archives a été ajoutée
afin de faciliter la compréhension du commentaire.
Puisque la mise aux archives a été écrite
avec un langage juridique qui pourrait résulter,
tout du moins en partie, de difficile compréhension,
je reporterai les passages en question en en simplifiant
la forme, peu à peu que je les soumettrai au
commentaire.
En premier je fais remarquer la faute reportée
dans la septième ligne où l’on écrit
en tant que opposant le nom de Righi (!?!) à
la place de Cascioli, faute laquelle, tout en étant
suffisante pour faire annuler l'ordonnance, je préfère
ignorer car elle représente pour moi, au cas
où je le ferai, seulement un retard au déroulement
de mon programme que j'entends mener à terme
en m’adressant le plus tôt possible au Tribunal
de Strasbourg.
Faite cette remarque, passons au commentaire de la mise
aux archives qui se conclue avec « la menace d’une
éventuelle accusation de calomnie envers le dénonçant
».
1°
motif: Responsabilité de l'État
"Le
Juge pour les enquêtes Préliminaires (Dr.
Gaetano Mautone), lu les actes et entendu les parties
en chambre de Conseil (référence à
l'audience qui s'est tenue à portes fermées
le 27 janvier 2006 durant laquelle ont parlé
l'avocat Fonzo pour Cascioli Luigi et l'Avocat Bruno
pour don Enrico Righi), en considérant que le
seul responsable des crimes prévus par les articles
661 et 494 doit être considéré l'État
en tant que P.A. (Publique Administration) car c’est
à lui qu' appartient la tutelle de la foi et
de l'ordre public, repousse l'opposition de Cascioli
et par conséquence sa dénonciation contre
don Enrico Righi."
Explication: puisque les articles 661 et 494 se réfèrent
aux crimes commis contre l'ordre et la foi publique,
et l'ordre et la foi publique sont confiées à
l'État, au cas où ces articles n’étaient
pas respectés par quelqu'un, celui qui doit être
accusé pour leur transgression, ce n'est pas
celui qui les a commis, mais l'État qui lui a
permis de la commettre. Cela équivaut à
dire pratiquement que la faute dérivante d'une
escroquerie ne doit pas être attribuée
à celui qui il la commet mais aux gendarmes qui
n'ont pas empêché à l'escroc de
la réaliser.
2°
motif: Manque d’arguments supplémentaires.
"L'opposition
proposée par Cascioli contre la mise aux archives
relative à sa seconde dénonciation (référence
à celle déposée le 23 mai 2003)
manque d’arguments supplémentaires à
ceux déjà exposés dans la première
dénonciation du 13 septembre 2002 qui auraient
du y être afin que le tribunal la puisse prendre
en considération pour la soumettre à d’autres
enquêtes."
À part le fait que la seconde dénonciation
du 20 mai 2003 fut déposée par Cascioli
car la première avait été tellement
déformée qu’elle résultait
méconnaissable à cause des falsifications
graves effectuées par le P.M. Petroselli et par
le juge Mautone, comme celles d'avoir déclaré
"inconnu" l'accusé, tout en ayant fourni
de lui le nom, le prénom, l'adresse et la profession,
et d'avoir ignoré l'art. 494 qui avait été
bien spécifié dans sa violation (voir
la dénonciation du 13 septembre 2002 et relative
mise aux archives du 27 mars 2003), on voudrait savoir
à quelles enquêtes précédentes
se réfère le Juge Mautone si lui-même
affirme de ne jamais les avoir faites lorsque comme
motivation pour repousser la dénonciation il
écrit: "On remet aux archives parce que
les enquêtes sont inadmissibles soit pour la forme
que pour l'objet de la vérification."
Si les enquêtes avaient vraiment été
effectuées, n'aurait-elle pas été
plus que suffisante, pour procéder à la
vérification sur l'historicité de Christ,
la preuve, une parmi les nombreuses reportées
dans la dénonciation, qui nous vient de l’extrait
de "Antiquités Judaïques" de Joseph
Flavius (..) duquel résulte que Simon Pierre
et Jacques ne sont pas frères de Jésus,
comme don Enrico déclare dans son Bulletin Paroissial,
mais deux fils de Judas le Galiléen condamnés
à la crucifixion par le procureur Cuspio Fado
avec l'accusation de zélotes révolutionnaires?
Découvrir ensuite, comme conséquence de
ces parentés, que Jésus, alias Jean de
Gamala, était lui aussi fils de Judas le Galiléen,
cela n'aurait pas été trop difficile si
vraiment aurait été faite cette enquête
que Cascioli vainement avait demandé par le moyen
de l'incident probatoire.
3°
motif: Affirmations discutables et controversées.
"L’ont doit considérer insignifiant,
aux fins d'une enquête, une vérification
sur l'existence historique de Christ car les résultats
pourraient porter à des affirmations discutables
et controversées non utiles à l'évaluation
correcte des faits en examen."
Discutables s'il s'agissait d'un procès théologique
tendant à démontrer une existence transcendantale,
mais puisque la dénonciation se réfère
à la non existence d'un homme, tel certain Jésus
dit le Christ déclaré né, vécu
et mort, les sujets traités seraient biensur
controversés (comme d'ailleurs il y en a dans
toutes les causes), mais non pas non jugeables puisqu’il
s’agit d’une controverse qui ne se base
pas sur des hypothèses abstraites et transcendantales,
mais sur des preuves soutenues par une documentation
tangible, contrôlable et donc compréhensible
non pas seulement par un juge que l’on suppose
soit formé professionnellement pour décider
sur la réalité des faits, mais par quiconque
d’autre qui, libre de tout conditionnement ou
préjugé fidéiste, soit en possession
d'un minimum d'intelligence et de bon sens.
4°
motif: Être ou ne pas être?
Leçons de théologie du Tribunal de Viterbe.
"Un
autre motif pour lequel on rejète la dénonciation
de Cascioli vient du fait qu'Enrico Righi n’a
pas affirmé dans le Bulletin Paroissial de mars-avril
2002 l’existence historique de Jésus, mais
il a seulement soutenu son humanité, c'est-à-dire
l'essence de l'homme."
Oui, vous avez bien lu! Il y est écrit vraiment
ainsi: "Don Enrico Righi a soutenu l'humanité
de Jésus, c'est-à-dire son essence d'homme,
mais il n’en a pas affirmé l'existence
historique."
Mais qu'est-ce que cela signifie, qu'est-ce que cela
veut dire « il a soutenu l'humanité mais
il n'a pas affirmé l'existence historique? ».
Que l’on m'explique comme il soit possible de
nier l'historicité de quelqu'un après
en avoir confirmé l'existence humaine en reportant
de lui le leiu de naissance, la paternité, la
maternité, les fraternités et laprofession.
Que l’on me fasse comprendre comme l’on
puisse dire d'une personne, de la même personne,
qu'elle a existé et en même temps déclarer
qu'elle n'a pas existé.
Un absurde qui, repoussé par la raison, peut
avoir été soutenu par un juge seulement
derrière un conseil de l'Église laquelle,
maîtresse comme elle est dans l'altération
des vérités, a pensé se sauver
de la dénonciation en séparant la figure
de Christ en deux entités, celle religieuse,
à laquelle, en tant qu’essence humaine,
il est possible de traverser les murs (Gv. 20,19) même
sans besoin de preuves, et celle historique, à
laquelle il n'est pas permis d'entrer et sortir d'une
pièce même pas au travers de la porte ou
en sautant une fenêtre si l’on ne se porte
pas derrière une documentation qui le confirme.
La première, celle fidéiste à laquelle
il est permis de marcher sur les eaux et à la
laquelle existence il faut croire pour une imposition
dogmatique, a été reconnue existante,
celle historique, qui doit par contre nager pour se
tenir à la surface, a été repoussée
pour pouvoir dévier celui qui aurait dû
être un procès laïque, basé
sur la raison et le bon sens, en un procès religieux
dont les fondements théologiques auraient été
la cause, avec leur caractère abstrait et leurs
extravagances, des "affirmations discutables et
controversées" non pas évaluables,
que le juge Mautone invoque au N° 3 comme motif
pour repousser la dénonciation.
L'application de ce stratagème de transformer
un procès laïque en un religieux, le recours
à la tromperie de faire résulter théologique
un débat qui aurait être exclusivement
historique, avait été prévu en
étant trop facile comprendre que celle-ci aurait
été la seule ancre de salut qu’auraient
pu saisir soit les juges que l'Église; les premiers
pour se libérer, même au coût de
faire tomber dans le ridicule toute la justice italienne,
d'une enquête qui aurait pu se conclure avec une
sentence qui les faisait trembler, la seconde pour éviter
sa fin.
« Ce procès ne doit pas se faire »,
a ordonné la "Corruptrice Eternelle",
et tout est fini, comme il avait été établi
qu'il finît, avec une mise aux archives dont les
motivations, pretextueuses et arbitraires, repoussées
par la raison et par le bon sens, ne peuvent qu'avoir
donné à l'Église une victoire apparente
et illusoire, c'est-à-dire une victoire de Phyrrus
qui équivaut à une terrible défaite.
Que pouvait-on espérer de plus d'un tribunal
italien et de la même Église du moment
que pour repousser une dénonciation affirmant
la non existence de Christ, ils sont arrivés
à faire admettre par le même accusé,
don Enrico, à lui même, la non existence
historique de Christ?
Si tout ceci était arrivé en autres temps,
de beaucoup plus que d'un crime de calomnie Cascioli
aurait été accusé! Dans un tribunal
de la Sainte Inquisition le mot "opiniâtreté"
utilisée par le Juge Mautone aurait acquis le
sens de "relapso", et l'hérétique
aurait été traduit au bûcher en
civière après lui avoir rompu les os pour
lui arracher ensuite la langue avant de donner feu à
une pile de bois précédemment trempée
afin que son agonie puisse se prolonger de la manière
la plus atroce et cléricale.
5° motif: Le bulletin paroissial est l'extériorisation
d'un droit
Ce
5° motif n'est u'un panégyrique tendant à
exalter et à confirmer légalement les
fonctions sacerdotales.
6°
motif: Explication des crimes hypothisés dans
la dénonciation (artt. 494-661).
Le
commentaire sur ces crimes, déjà fait
et reporté sur « Commentaire à la
demande de mise aux archives du 15 septembre 2004 »
(voir "Procès" sur www.luigicascioli.it),
sera repris avec renouvelée "opiniâtreté"
dans le recours qui sera présenté au tribunal
de Strasbourg.
Conclusion: Quelque soit la décision du Tribunal
de Strasbourg, (connaissant les tentacules de la "Grande
Pieuvre") même si tout est possible, une
chose est de toute façon certaine: l'Église
en sortira déchiquetée et avec les os
cassés… et cela me suffit déjà
pour pouvoir dire: « Je ne vécus pas en
vain! »
Luigi Cascioli
---------------------------------------------------------------------------------------------
Rapport
de l’audience qui s’est tenue à Viterbo
le 27 janvier 2006
Comme
prévu, Don Enrico était absent.
L’avocat de Cascioli Luigi, Me Mauro Fonzo, a
parlé le premier. Pour démontrer le fondement
des accusations énoncées dans la plainte,
il a étayé son réquisitoire de
nombreux exemples d’exégètes qui
nient la figure historique de Jésus, citant même
parmi eux certains de matrice chrétienne et croyants,
tel Renan.
Me Severo Bruno, avocat de Enrico Righi, au contraire,
ignorant tout argument relatif à l’existence
du Christ, a dévié du chef de l’accusation,
soutenant que la responsabilité d’un faux
historique éventuel n’est pas imputable
à don Enrico Righi mais à ceux qui l’ont
affirmé avant lui.
Pratiquement il a voulu dire : « Au cas ou Christ
ne resultrerait pas existé, ce sont les auteurs
des Textes Sacrés qui mériteraient d’être
condamnés et non don Enrico qui s’est borné
à répéter ce que d’autres
ont écrit », comme si la personne qui vend
le poisonne doit pas etre consideré responsable
des dommages qu'il peur produire si la formule a été
inventée par un autre.
C’est par cette forme de défense qui tend
à décharger sur des personnes n’existant
plus et par conséquent non punissables par la
loi, que l’Eglise démontre toute sa faiblesse.
Sachant qu’elle ne pourra jamais démontrer
l’existence historique du Christ, son seul but
est de trouver n’importe quel prétexte,
même le plus vil, pour faire échouer une
accusation dont elle sait bien qu’elle pourrait
se terminer par une sentence qui signerait sa fin si
elle allait à son terme.
Après avoir écouté les deux parties,
le juge Gaetano Mautone s’est donné du
temps pour prendre sa décision.
Laquelle des deux versions prendra-t-il en considération
?
Dans le respect de la procédure judiciaire, les
versions que peut adopter le juge pour émettre
sa sentence sont au nombre de deux :
1) Se baser sur une compétence personnelle en
la matière qui serait, dans ce cas, la ‘’christologie’’.
2) Dans le cas contraire, nommer un CTU (représenté
dans ce cas par un expert des Textes Sacrés)
qui établirait si les preuves avancées
dans l’accusation doivent être repoussées
ou sont considérées valables pour donner
lieu à un procès.
La loi sera-t-elle respectée ? Connaissant les
motifs invoqués pour justifier les précédents
classements aux archives, que peut-on supposer d’autre
que la répétition des mêmes abus
si nous ne nourrissions une certaine espérance
de voir les choses changer du fait que cette fois-ci
la sentence ne restera pas dans le cadre d’une
petite commune informée avec partialité
par un petit journal de province, mais ira bien au-delà,
intéressant tout le monde? Et le tribunal de
Viterbo devra bien en tenir compte de sela s’il
ne veut pas compromettre l’honneur d’une
nation laïque et indépendante, au moins
pour ce qui concerne la justice, comme l’a déjà
fait la presse nationale dont le silence sur ce procès
a démontré à quel point l’Italie
s’est réduite à un fief du Vatican.
Luigi
Cascioli
--------------------------------------------------------------------------------------------
A'
la suite del la nouvelle confirmation eue par la Cour
d'Appel de
Rome, le Juge Gaetano Mautone a fixe' la prochaine audience
le 27/01/2006
===================================
TRIBUNAL DE VITERBO
BUREAU DU JUGE POUR LES ENQUETES
PRELIMINAIRES
DECRET DE FIXATION DE L'AUDIENCE
LA SUITE DEL LA DEMANDE DE MISE AUX ARCHIVES
NON ACCUEILLIE
ART. 409 - COMMA 2-3 CPP
Le juge pour les enquetes preliminaires
lu les actes du procede' penal ci-dessus indique' a'
l'egard de
Righi Enrico
en ordre au delit relatif a' l'art. 661 CP a' Bagnoregio
le
9/03/2004
prise en examen la demande de mise aux archives du Procureur
de la Republique
vue l'opposition de la partie offense'
considere' que la demande a' l'Etat ne peut etre accuillie
vu l'art. 409 comma 2 CPP
FIXE
la date de l'audience a' la Chambre du Conseil pour
le jour
27/01/2006 a' 9h00 a' Viterbo, rue G.Falcone et P.Boresellino
Loc.
Riello Viterbo (NOUVEAU PALAIS DE JUSTICE), en disposant
en aviser
le Procureur de la Republique, la personne soumise aux
enquetes et la personne offense'e par le delit
- Righi Enrico, enquete', domicile choisi aupres de
l'avocat Severo Bruno rue Cavour 67 Viterbo
- Avocat Severo Bruno rue Cavour 67 Viterbo
- Cascioli Luigi, partie offensee, domicile choisi aupres
de l'avocat Mauro Fonzo corso Cavour 84 Foligno
- Avocat Mauro Fonzo corso Cavour 84 Foligno
- Procureur de la Republique Dr. Petroselli
et communication au Procureur General aupres de la Cour
d'Appel
Envoie a' la greffe pour les accomplissements de competence.
Viterbo,
le 16/11/2005.
Le Juge pour les Enquetes preliminaires
Dr. Gaetano Mautone
timbre et signature non lisibles
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CABINET LEGAL FONZO
Avocat Mauro Fonzo
DEFENSEUR EN CASSATION
DR. LORETTA DE TONA
Tribunal de Viterbo
Cabinet du Juge pour
les enquetes preliminaires
Loc. Riello - 01100
Viterbo
Objet: avis de fixation d'audience prot. 3724/2004 RG
GIP
En date 1/12/2005 a' ce bureau a' ete' notifie' un decret
de
fixation d'audience pour le procede' en objet portant
une date de
toute evidence erronee.
C'est pour cela que je formule la presente pour inviter
le
Bureau dont a' l'adresse, en nom et pour compte de la
Partie
offensee M. Luigi Cascioli, a' bien vouloir nous communiquer
la
date correcte de l'audience dans les termes pour pouvoir
exercer
les droits dus a' notre assiste'.
Avec observance,
Avocat Mauro Fonzo
Ci-joint la copie de l'avis.
A' la suite de l'erreur commise par la greff |